Introduction

Bienvenue sur le blog de un voyage constant d'évolution d'émotions. Ici, nous partageons des réflexions profondes et poétiques sur les différentes étapes d'évaluation et de reconstruction personnelle. Découvrez nos textes variés, nos témoignages et bien plus encore, après sur l'amour de soi et le développement personnel.

 

 

 J'espère pouvoir toucher une petite partie de vos coeurs et vous puissiez vous sentir identifiés par la suite..

Un amour en évolution 

Au cœur de notre existence, les relations se tissent comme des fils invisibles, formant la trame de nos vies. Elles sont bien plus qu'une simple connexion ; elles sont le miroir dans lequel nous apprenons à nous connaître, à grandir et à nous transformer. Une relation significative, en particulier une relation amoureuse, est un voyage constant où l'importance de chaque interaction façonne notre être.

 

​L'amour en est la force motrice. Ce n'est pas un sentiment statique, mais une énergie qui évolue, qui s'approfondit et qui se renforce avec le temps. L'amour se métamorphose à mesure que les partenaires se découvrent, passant de l'émerveillement des débuts à une affection plus sereine et profonde, empreinte de respect et d'admiration mutuelle.

 

​La confiance est le fondement sur lequel repose toute relation durable. C'est le sentiment de sécurité qui permet aux deux partenaires de se montrer vulnérables, de partager leurs peurs et leurs rêves sans crainte de jugement. La confiance ne s'acquiert pas du jour au lendemain, elle se construit patiemment, geste après geste, promesse tenue après promesse tenue. C'est en faisant preuve de fiabilité et d'honnêteté que l'on établit un lien indéfectible.

 

​La communication est le pont qui relie deux âmes. C'est l'art d'écouter attentivement, de s'exprimer avec clarté et de partager ses pensées, même les plus intimes. Une communication ouverte et sincère permet de résoudre les conflits, de célébrer les victoires et de traverser ensemble les moments difficiles. Sans elle, la distance s'installe, les malentendus s'accumulent et la connexion s'étiole.

 

​Enfin, la compréhension est l'huile qui fait tourner les rouages de la relation. C'est la capacité de se mettre à la place de l'autre, de saisir ses émotions et de valider ses sentiments. Comprendre son partenaire, c'est l'accepter tel qu'il est, avec ses qualités et ses défauts. C'est aussi savoir qu'il évoluera et grandira, et être prêt à l'accompagner dans ce processus. ​En fin de compte, une relation est une danse constante, une série d'ajustements où chaque pas renforce l'harmonie. La transformation qui s'opère au sein d'une relation est la somme de l'amour, de la confiance, de la communication et de la compréhension. Ces éléments, en agissant de concert, permettent à deux individus de devenir une meilleure version d'eux-mêmes, ensemble.

Au-delà d'un handicap !

J’ai pris la décision d’aborder ce sujet si universel et pourtant si complexe puisqu’il fait partie de ma réalité. À travers cette histoire qui fait partie de moi, j’espère pouvoir vous faire réaliser qu’il existe une vie au-delà de l’apparence que peut entraîner cette condition physique.

    

Histoire de conte de fée

Pour moi, la plus belle étape de ma vie c’est mon enfance étant donné que je pensais que mon premier fauteuil roulant était comme une carrosse qu’on voit dans les histoires de conte de fée. Au début, je le voyais comme un jeu et j’étais fière de pouvoir montrer au monde entier cette belle carrosse. En réalité, c’était l’unique manière d’avoir plus de mobilité dans mon quotidien que je refusais d’accepter, car j'avais à peine cinq ans. C’est vrai que quand nous sommes des enfants on est insouciant et qu’on ne se rend pas compte de notre avenir simplement parce qu’à cette période les seules choses qui sont importantes à nos yeux c’est d’être heureux et de pouvoir s’amuser.   

Mais c’est quoi exactement d’avoir un handicap?

 

Avoir un handicap c'est quand on a plus de difficulté à fonctionner que les autre pas parce qu'on ne veut pas sinon parce qu'on ne peut pas à cause de notre corps et ou notre esprit. Par exemple il y a des gens qui marche et d'autres qui doivent utiliser un fauteuil roulant pour pouvoir fonctionner dans la vie de tous les jours. Aussi il y a des gens qui peuvent avoir plus de facilité à faire certaines taches mais dans notre cas on doit parfois avoir des adaptations pour mieux faire les choses. Mais ça ne veut pas dire qu'on ne peut rien faire et trouver une place dans la société. Alors même si la personne a un handicap, elle peut réussir pleins d'objectifs dans la vie ! Parfois elle aura un peu besoin d'aide ou qu'on puisse avoir la capacité un peu à elle, Le plus important c'est de se rappeler que toute le monde est différent, et que chacun mérite d'être respecté et compris.

  

La Tornade d’Émotions

 

Quand tu grandis et que tu passes par la puberté et l’adolescence, tout devient plus compliqué dans ta tête. Tes pensées changent, tu ressens plein d’émotions différentes, et parfois tu te sens perdu. Même si, au fond de toi, tu ne veux pas que ça arrive, tes peurs et tes émotions prennent souvent le dessus. Parfois, on doit apprendre à accepter cette nouvelle version de soi, même si elle n’est là que pour un moment. En grandissant, on comprend peu à peu les choses autrement, avec plus de clarté. Pour moi, ce passage a été très difficile. Je devais traverser cette période comme tous les adolescents, mais avec une difficulté en plus : ce fameux fauteuil roulant, que je voyais à l’époque comme un énorme obstacle dans ma vie. À l’âge de douze ans, j’ai vécu un moment très dur. J’ai commencé à me rejeter moi-même, à rejeter mon corps. Je me regardais dans le miroir, les larmes aux yeux, en me demandant : « Pourquoi moi ? »

 

Mais avec le temps, j’ai compris que la vraie question était peut-être : « Pourquoi suis-je dans cette situation depuis ma naissance ? » Peut-être qu’il y a une raison, un but à cela.

Honnêtement, je cherche encore cette réponse. Mais en attendant qu’elle vienne, je choisis de vivre un jour à la fois, à ma manière, avec tout ce qui fait que je suis moi.

 

Au-delà d'une chaise à deux roues

 

Trop souvent, les gens s’arrêtent à ce qu’ils voient une chaise roulante. Ils gardent leurs préjugés sans chercher à voir plus loin. Pourtant, derrière cette chaise, il y a une personne, un être humain comme tous les autres. Cette chaise n’est qu’un outil pour l’aider à être plus autonome. Elle ne définit pas qui elle est, ni ce dont elle est capable. Ce n’est pas parce qu’on se déplace différemment qu’on vaut moins. Il suffit juste d’apprendre à regarder avec un peu plus au-delà d’une chaise à deux roues. Ce que tu as vécu est fort et malheureusement trop courant. Mais ton témoignage peut justement inspirer et faire réfléchir beaucoup de monde. Voici une version retravaillée de ton texte, plus fluide, sincère et puissante, tout en restant simple :

« Je dis cela parce que je l’ai vécu. Certaines personnes ont douté de mes capacités. Et à force de l’entendre, j’ai fini par douter moi-même. Leur regard, leurs paroles m’ont mis un pincement au cœur. J’ai commencé à me demander si j’étais vraiment capable d’atteindre mes objectifs, de réaliser mes projets personnels.

Mais avec le temps, j’ai compris que le doute des autres ne doit pas devenir le mien. Ce n’est pas à eux de définir ce que je peux ou ne peux pas faire. Aujourd’hui, je choisis de croire en moi. Et j’avance, à mon rythme, vers mes rêves. »

 

Quand j’étais au secondaire, j’étais inscrit dans le parcours académique. Cependant, à un moment donné, l’école où j’étais a pris la décision de m’orienter vers une formation professionnelle axée sur le travail. Selon eux, je n’étais pas en mesure de continuer mes études dans le parcours régulier pour atteindre l’un de mes plus grands objectifs : poursuivre mon apprentissage afin d’obtenir un diplôme complet. Ce diplôme me permettrait ensuite d’accéder à un DEP (Diplôme d’études professionnelles) en secrétariat. Je vais vous partager les trois raisons pour les quelle je souhaite fortement faire ce domaine.

 

Le départ

 

Depuis ma jeunesse, j’ai toujours aimé jouer à être une professionnelle du secrétariat. Je m’imaginais souvent en train de taper à l’ordinateur, organiser des dossiers ou répondre au téléphone, comme dans un vrai bureau. C’est un domaine qui m’a toujours attirée naturellement.

 

C’est un domaine accessible pour moi malgré mon handicap. Le métier de secrétaire peut e faire dans un environnement adapté, comme un bureau, où je peux facilement utiliser mon fauteuil roulant. Cela me permettrait de me déplacer plus facilement et d’être le plus autonome possible dans mon travail.

 

J’aime beaucoup travailler à l’ordinateur et écrire. J’aime aussi prendre des notes dans des cahiers et faire des appels. Toutes ces tâches font partie du métier de secrétaire, ce qui me motive encore plus à poursuivre dans ce domaine.

 

Aujourd’hui, j’aimerais vous parler un peu de mon parcours. Quand j’étais au secondaire, j’étais dans le parcours académique. Mais à un moment donné, l’école où j’étais a décidé de m’orienter vers une formation professionnelle, en me disant que je n’étais peut-être pas capable de continuer dans les études régulières. Mais moi, je savais ce que je voulais : mon objectif, c’est d’avoir un diplôme complet, et ensuite de faire un DEP en secrétariat. Je veux avancer, apprendre et prouver que je peux réussir, même si le chemin est différent.

 

Un peu de moi...

Je me présente, je m’appelle Laura Dena et j’ai vingt-deux ans. Je suis d’origine mexicaine et je suis arrivée au Canada à l'âge de quatre ans avec ma sœur jumelle Diana et ma mère Miriam. Ça fait dix-sept ans depuis que cette belle aventure à commencer pour nous. J’ai une condition physique qui fait en sorte que je suis limitée dans mon quotidien puisque j’ai besoin d’accommodement pour accomplir certaines tâches au quotidien. Je suis atteinte de la paralysie cérébrale depuis ma naissance. Cependant, je parviens à faire preuve de beaucoup de débrouillardise. Cette épreuve que la vie m’a mis sur le chemin je continue à vouloir avancer dans mes projets qui sont continuer et en fin réussir mon secondaire pour avoir un emploi en secrétariat. 

 

Pourquoi j’ai choisi ce choix de carrière ? Eh bien J’ai choisi le secrétariat pour trois raisons très personnelles. La première, c’est que depuis que je suis jeune, j’aime faire semblant de travailler dans un bureau. J’aimais organiser, écrire, répondre au téléphone… comme une vraie secrétaire! Ça m’a toujours attirée.

La seconde c’est que c’est un domaine accessible pour moi. Avec mon fauteuil roulant, je peux facilement travailler dans un bureau adapté, et ça me permet de rester autonome et indépendante, ce qui est très important pour moi.

Enfin, j’aime vraiment travailler à l’ordinateur, prendre des notes, écrire dans des cahiers et même faire des appels. Ce sont des choses que j’aime déjà faire dans ma vie, alors les retrouver dans un métier, c’est motivant pour moi.

 

Pour finir, je cherche également à prouver aux gens qui n’ont pas cru en moi qu’ils ont eu tordent. Le chemin n’est loin d’être facile, c’est vrai. Il nous arrive d’être freiné par des obstacles, mais ce n’est pas pour autant que c’est impossible. Avec de la patience, de la passion et de la persévérance, on peut arriver à passer par-dessus.

Parfois, il y a des jours où j’ai envie de tout abandonner, mais dans ces moments-là, je respire, je prends du recul, et je pense à tout ce que j’ai déjà traversé. Je me rappelle aussi ce qu’on m’a souvent dit que je n’allais jamais y arriver, que ça me prendrait trop d’années et contrairement à ce que l’on peut croire ça qui me donne encore plus envie de continuer à me surpasser. Je sais que les personnes avec une condition comme la mienne peuvent parfois prendre plus de temps pour parvenir à atteindre un objectif simple, mais peu importe combien de temps ça prend, ce qui compte, c’est de ne pas baisser les bras puisque quand on y arrive on ressent une énorme fierté.

 

Merci d’avoir pris le temps de suivre ce qu’implique la découverte des gens au-delà d'un handicap !

J’ai pris la décision d’aborder ce sujet si universel et pourtant si complexe puisqu’il fait partie de ma réalité. À travers cette histoire qui fait partie de moi, j’espère pouvoir vous faire réaliser qu’il existe une vie au-delà de l’apparence que peut entraîner cette condition physique.

    

Histoire de conte de fée

Pour moi, la plus belle étape de ma vie c’est mon enfance étant donné que je pensais que mon premier fauteuil roulant était comme une carrosse qu’on voit dans les histoires de conte de fée. Au début, je le voyais comme un jeu et j’étais fière de pouvoir montrer au monde entier cette belle carrosse. En réalité, c’était l’unique manière d’avoir plus de mobilité dans mon quotidien que je refusais d’accepter, car j'avais à peine cinq ans. C’est vrai que quand nous sommes des enfants on est insouciant et qu’on ne se rend pas compte de notre avenir simplement parce qu’à cette période les seules choses qui sont importantes à nos yeux c’est d’être heureux et de pouvoir s’amuser.   

Mais c’est quoi exactement d’avoir un handicap?

 

Avoir un handicap c'est quand on a plus de difficulté à fonctionner que les autre pas parce qu'on ne veut pas sinon parce qu'on ne peut pas à cause de notre corps et ou notre esprit. Par exemple il y a des gens qui marche et d'autres qui doivent utiliser un fauteuil roulant pour pouvoir fonctionner dans la vie de tous les jours. Aussi il y a des gens qui peuvent avoir plus de facilité à faire certaines taches mais dans notre cas on doit parfois avoir des adaptations pour mieux faire les choses. Mais ça ne veut pas dire qu'on ne peut rien faire et trouver une place dans la société. Alors même si la personne a un handicap, elle peut réussir pleins d'objectifs dans la vie ! Parfois elle aura un peu besoin d'aide ou qu'on puisse avoir la capacité un peu à elle, Le plus important c'est de se rappeler que toute le monde est différent, et que chacun mérite d'être respecté et compris.

  

La Tornade d’Émotions

 

Quand tu grandis et que tu passes par la puberté et l’adolescence, tout devient plus compliqué dans ta tête. Tes pensées changent, tu ressens plein d’émotions différentes, et parfois tu te sens perdu. Même si, au fond de toi, tu ne veux pas que ça arrive, tes peurs et tes émotions prennent souvent le dessus. Parfois, on doit apprendre à accepter cette nouvelle version de soi, même si elle n’est là que pour un moment. En grandissant, on comprend peu à peu les choses autrement, avec plus de clarté. Pour moi, ce passage a été très difficile. Je devais traverser cette période comme tous les adolescents, mais avec une difficulté en plus : ce fameux fauteuil roulant, que je voyais à l’époque comme un énorme obstacle dans ma vie. À l’âge de douze ans, j’ai vécu un moment très dur. J’ai commencé à me rejeter moi-même, à rejeter mon corps. Je me regardais dans le miroir, les larmes aux yeux, en me demandant : « Pourquoi moi ? »

 

Mais avec le temps, j’ai compris que la vraie question était peut-être : « Pourquoi suis-je dans cette situation depuis ma naissance ? » Peut-être qu’il y a une raison, un but à cela.

Honnêtement, je cherche encore cette réponse. Mais en attendant qu’elle vienne, je choisis de vivre un jour à la fois, à ma manière, avec tout ce qui fait que je suis moi.

 

Au-delà d'une chaise à deux roues

 

Trop souvent, les gens s’arrêtent à ce qu’ils voient une chaise roulante. Ils gardent leurs préjugés sans chercher à voir plus loin. Pourtant, derrière cette chaise, il y a une personne, un être humain comme tous les autres. Cette chaise n’est qu’un outil pour l’aider à être plus autonome. Elle ne définit pas qui elle est, ni ce dont elle est capable. Ce n’est pas parce qu’on se déplace différemment qu’on vaut moins. Il suffit juste d’apprendre à regarder avec un peu plus au-delà d’une chaise à deux roues. Ce que tu as vécu est fort et malheureusement trop courant. Mais ton témoignage peut justement inspirer et faire réfléchir beaucoup de monde. Voici une version retravaillée de ton texte, plus fluide, sincère et puissante, tout en restant simple :

« Je dis cela parce que je l’ai vécu. Certaines personnes ont douté de mes capacités. Et à force de l’entendre, j’ai fini par douter moi-même. Leur regard, leurs paroles m’ont mis un pincement au cœur. J’ai commencé à me demander si j’étais vraiment capable d’atteindre mes objectifs, de réaliser mes projets personnels.

Mais avec le temps, j’ai compris que le doute des autres ne doit pas devenir le mien. Ce n’est pas à eux de définir ce que je peux ou ne peux pas faire. Aujourd’hui, je choisis de croire en moi. Et j’avance, à mon rythme, vers mes rêves. »

 

Quand j’étais au secondaire, j’étais inscrit dans le parcours académique. Cependant, à un moment donné, l’école où j’étais a pris la décision de m’orienter vers une formation professionnelle axée sur le travail. Selon eux, je n’étais pas en mesure de continuer mes études dans le parcours régulier pour atteindre l’un de mes plus grands objectifs : poursuivre mon apprentissage afin d’obtenir un diplôme complet. Ce diplôme me permettrait ensuite d’accéder à un DEP (Diplôme d’études professionnelles) en secrétariat. Je vais vous partager les trois raisons pour les quelle je souhaite fortement faire ce domaine.

 

Le départ

 

Depuis ma jeunesse, j’ai toujours aimé jouer à être une professionnelle du secrétariat. Je m’imaginais souvent en train de taper à l’ordinateur, organiser des dossiers ou répondre au téléphone, comme dans un vrai bureau. C’est un domaine qui m’a toujours attirée naturellement.

 

C’est un domaine accessible pour moi malgré mon handicap. Le métier de secrétaire peut e faire dans un environnement adapté, comme un bureau, où je peux facilement utiliser mon fauteuil roulant. Cela me permettrait de me déplacer plus facilement et d’être le plus autonome possible dans mon travail.

 

J’aime beaucoup travailler à l’ordinateur et écrire. J’aime aussi prendre des notes dans des cahiers et faire des appels. Toutes ces tâches font partie du métier de secrétaire, ce qui me motive encore plus à poursuivre dans ce domaine.

 

Aujourd’hui, j’aimerais vous parler un peu de mon parcours. Quand j’étais au secondaire, j’étais dans le parcours académique. Mais à un moment donné, l’école où j’étais a décidé de m’orienter vers une formation professionnelle, en me disant que je n’étais peut-être pas capable de continuer dans les études régulières. Mais moi, je savais ce que je voulais : mon objectif, c’est d’avoir un diplôme complet, et ensuite de faire un DEP en secrétariat. Je veux avancer, apprendre et prouver que je peux réussir, même si le chemin est différent.

 

Un peu de moi...

Je me présente, je m’appelle Laura Dena et j’ai vingt-deux ans. Je suis d’origine mexicaine et je suis arrivée au Canada à l'âge de quatre ans avec ma sœur jumelle Diana et ma mère Miriam. Ça fait dix-sept ans depuis que cette belle aventure à commencer pour nous. J’ai une condition physique qui fait en sorte que je suis limitée dans mon quotidien puisque j’ai besoin d’accommodement pour accomplir certaines tâches au quotidien. Je suis atteinte de la paralysie cérébrale depuis ma naissance. Cependant, je parviens à faire preuve de beaucoup de débrouillardise. Cette épreuve que la vie m’a mis sur le chemin je continue à vouloir avancer dans mes projets qui sont continuer et en fin réussir mon secondaire pour avoir un emploi en secrétariat. 

 

Pourquoi j’ai choisi ce choix de carrière ? Eh bien J’ai choisi le secrétariat pour trois raisons très personnelles. La première, c’est que depuis que je suis jeune, j’aime faire semblant de travailler dans un bureau. J’aimais organiser, écrire, répondre au téléphone… comme une vraie secrétaire! Ça m’a toujours attirée.

La seconde c’est que c’est un domaine accessible pour moi. Avec mon fauteuil roulant, je peux facilement travailler dans un bureau adapté, et ça me permet de rester autonome et indépendante, ce qui est très important pour moi.

Enfin, j’aime vraiment travailler à l’ordinateur, prendre des notes, écrire dans des cahiers et même faire des appels. Ce sont des choses que j’aime déjà faire dans ma vie, alors les retrouver dans un métier, c’est motivant pour moi.

 

Pour finir, je cherche également à prouver aux gens qui n’ont pas cru en moi qu’ils ont eu tordent. Le chemin n’est loin d’être facile, c’est vrai. Il nous arrive d’être freiné par des obstacles, mais ce n’est pas pour autant que c’est impossible. Avec de la patience, de la passion et de la persévérance, on peut arriver à passer par-dessus.

Parfois, il y a des jours où j’ai envie de tout abandonner, mais dans ces moments-là, je respire, je prends du recul, et je pense à tout ce que j’ai déjà traversé. Je me rappelle aussi ce qu’on m’a souvent dit que je n’allais jamais y arriver, que ça me prendrait trop d’années et contrairement à ce que l’on peut croire ça qui me donne encore plus envie de continuer à me surpasser. Je sais que les personnes avec une condition comme la mienne peuvent parfois prendre plus de temps pour parvenir à atteindre un objectif simple, mais peu importe combien de temps ça prend, ce qui compte, c’est de ne pas baisser les bras puisque quand on y arrive on ressent une énorme fierté.

 

Merci d’avoir pris le temps de suivre ce qu’implique la découverte des gens au-delà d'un handicap !

Un voyage plein de remercîments 

Premièrement j’aimerais commencer en dissent ceci:  Je me sens ravi d'avoir la chance d'être vivante ! Et avoir la magnifique opportunité de me lever chaque jour et de vivre ainsi d’apprendre des magnifiques choses qui me vont évoluer et avancer dans ce beau voyage de vie.  

 

Où on peut découvrir des beaux paysages, de la bonne bouffe mais également on a la chance de croiser des belles personnes qui viennent nous enseigner ou simplement nous faire vivre des belles expériences qu'avec le temps elles se transforment à une belle métamorphose d’évolution constante.  

  

Mais comme dans tout voyage il y a des imprévues, des petits obstacles qui faut traverser et avoir la capacité de surmonter.  Parfois ces personnes viennent simplement pour accomplir une certaine étape dans nos vies et quand leur mission elle est accomplie elles doivent partir par la suite...   

 

Même si au fond de nous nous souhaiterons qu’elles restent un peu plus, car on ait attaché, car on les aime beaucoup ou aussi parce qu’on a de la difficulté à tourner cette belle page qui a été si importante et marquante dans notre livre de vie.  Mais de la même façon on doit être capable de dire merci et au revoir avec le cœur net   en sachent que nous avons tout donné de nous- même et pouvoir laisser un joli souvenir dans la vie de ces personnes, comme elles aussi on laisser cette même marque en nous.  Et partir avec la tête haute pour pouvoir continuer à avancer vers des nouveaux horizons qui nous amènerons à des voyages si uniques comme celui-ci où nous allons continuer à découvrir des magnifiques choses où nous allons croiser des nouvelles personnes qui vont aussi nous aider à évoluer et faire que cette version de nous-même soit encore meilleure de qu'est-ce-quelle est déjà !  

 

Bref merci chère vie pour nous permettre sentir tout ce qu’on vie jour à jour ! Pour nous permettre d’évoluer comme êtres humains mais surtout, de nous donner l’opportunité être entouré de tous ceux qu’on aime ! 

 

Ceci-ci est un petit rappel de que la vie n’est pas toujours facile mais elle est belle !   

 

Joyeuse action de grâce !

Le Secret de la Feuille D'or 🍂

Dans un petit village niché au cœur d'une vallée verdoyante, l'automne était arrivé avec sa palette de couleurs la plus éclatante. Les érables rougissaient, les chênes se paraient d'or et les châtaigniers laissaient tomber leurs fruits piquants sur le sol tapissé de feuilles craquantes. C'était un spectacle que la petite Élisa aimait plus que tout. Chaque matin, en chemin pour l'école, elle ralentissait pour admirer les arbres, s'émerveillant de la transformation du monde autour d'elle.

​Un jour, alors qu'elle s'enfonçait un peu plus que d'habitude dans le petit sentier boisé qui bordait sa maison, son regard fut attiré par une feuille absolument magnifique. Elle n'était pas seulement jaune ou rouge ; elle était d'un or pur et scintillant, comme si elle avait capturé un rayon de soleil pour l'éternité. Élisa n'avait jamais rien vu de pareil. 

 

Elle se pencha doucement pour la ramasser, craignant de briser sa délicate perfection. Mais au lieu de se froisser, la feuille d'or resta ferme entre ses doigts. En la tournant, Élisa remarqua une petite gravure, presque invisible, sur sa nervure centrale : un symbole étrange qui ressemblait à une petite spirale entourée d'étoiles miniatures.

À peine l'eut-elle touchée qu'une légère brise souffla, emportant avec elle non pas le froid habituel de l'automne, mais un parfum doux et réconfortant, mêlant l'odeur de la terre humide, du bois de cheminée et d'une touche de miel. Élisa sentit une chaleur se répandre en elle, une sensation de bien-être et de curiosité. Cette feuille n'était pas ordinaire, elle en était certaine. Elle la glissa précieusement dans la poche de son manteau et continua son chemin, l'esprit rempli de questions.

 

Le Secret de la Feuille D'or (suite)

​Toute la journée à l'école, Élisa ne put s'empêcher de penser à la feuille d'or. Elle la caressait discrètement dans sa poche, sentant la chaleur douce émaner d'elle, même à travers le tissu de son manteau. Le mystérieux symbole gravé sur sa nervure tournait en boucle dans son esprit.

En rentrant de l'école, au lieu de suivre le chemin habituel, Élisa décida de s'aventurer plus profondément dans le bois. La feuille d'or semblait la guider, vibrant légèrement dans sa poche à chaque pas. L'air était plus frais ici, et le soleil filtrait à travers la canopée, créant des taches de lumière dansantes sur le sol. Elle arriva bientôt devant un vieux chêne immense, dont le tronc était si large qu'elle n'aurait pas pu l'embrasser entièrement avec ses bras. Des champignons colorés poussaient à son pied, et des lianes s'accrochaient à ses branches noueuses.

​Assise sur une racine saillante du chêne, une vieille femme tricotait tranquillement. Ses cheveux blancs étaient tressés avec des rubans de feuilles d'automne et ses yeux, d'un bleu profond, semblaient avoir vu toutes les saisons passer. Elle portait un châle tissé de fils aux couleurs de l'automne, et à ses côtés, une petite théière fumait doucement, dégageant un parfum de cannelle et d'épices.

"Bonjour, ma chère," dit la vieille femme d'une voix douce et chaleureuse, sans lever les yeux de son tricot. "Je savais que tu viendrais."

​Élisa, un peu intimidée mais surtout fascinée, sortit timidement la feuille d'or de sa poche. "Bonjour, Madame. Je... j'ai trouvé cette feuille. Elle est spéciale."

La vieille femme leva enfin les yeux. Un sourire énigmatique apparut sur ses lèvres. "Ah, la Feuille des Souhaits," murmura-t-elle. "Elle te l'a choisie, n'est-ce pas ?" Elle tendit une main ridée et accueillante. "Approche, Élisa. Viens prendre le thé, et je vais te raconter le secret de l'automne." 

Élisa s'approcha, le cœur battant d'excitation. La vieille femme lui fit signe de s'asseoir à côté d'elle, et lui versa une tasse de thé chaud. L'arôme était encore plus enivrant de près.

​Cette feuille, commença la vieille femme en montrant celle dans la main d'Élisa, "n'est pas une simple feuille. C'est un messager de la nature, une parcelle de la magie de l'automne elle-même. Le symbole que tu as vu, la spirale entourée d'étoiles, représente le cycle éternel de la vie et le potentiel infini des désirs. Chaque automne, quand le monde se prépare à s'endormir, quelques-unes de ces feuilles spéciales tombent. Mais elles ne se révèlent qu'à ceux dont le cœur est pur et ouvert à la merveille."

Le Secret de la Feuille D'or (suite)

​La vieille femme, dont les yeux pétillaient de sagesse, but une gorgée de son thé avant de continuer, le regard posé sur la feuille d'or qu'Élisa tenait toujours précieusement.

​"La Feuille des Souhaits ne fonctionne pas comme par magie ordinaire, Élisa," expliqua-t-elle. "Elle ne t'accordera pas un château ou des bonbons à l'infini en un claquement de doigts. Son pouvoir est bien plus subtil, bien plus profond. Elle te montre le chemin pour réaliser les souhaits qui viennent de ton cœur, ceux qui peuvent apporter de la beauté, de la joie ou du réconfort au monde qui t'entoure."

​Elle posa sa main douce sur celle d'Élisa, qui tenait la feuille. "Le symbole, la spirale, représente le voyage. Les étoiles sont les possibilités. Pour que ta Feuille des Souhaits révèle son plein potentiel, tu dois accomplir une petite tâche. Une tâche simple, mais qui demande de l'attention et de la générosité, à l'image de l'automne qui prépare la terre pour le printemps à venir."

​"Quelle tâche ?" demanda Élisa, ses yeux grands ouverts, emplis d'une curiosité vibrante.

​"Pendant trois jours, à chaque lever de soleil, tu devras trouver l'endroit le plus triste du village. Un coin délaissé, un arbre solitaire qui semble dépérir, un mur gris qui attend la couleur, ou peut-être même une personne qui a perdu son sourire. Et à chaque fois, tu devras y déposer un petit morceau de cette feuille d'or, en pensant à un souhait simple et sincère de beauté ou de réconfort pour cet endroit ou cette personne."

​La vieille femme sourit. "La feuille est magique, tu ne la verras pas diminuer. Mais chaque fragment déposé fera germer une étincelle. Ne t'attends pas à un miracle grandiose, Élisa. Attends-toi à de petites merveilles, à des changements doux, mais réels. Et n'oublie jamais : le véritable pouvoir ne réside pas seulement dans la feuille, mais dans l'intention de ton cœur." 

Le Secret de la Feuille D'or (Jour Un)

​Le lendemain, Élisa se réveilla avant l'aube. La Feuille des Souhaits vibrait faiblement dans sa poche, lui rappelant sa promesse.

​Elle sortit silencieusement de la maison et se dirigea vers le village. Tandis que le ciel s'éclaircissait, teinté d'un gris doux et rosé, Élisa chercha l'endroit le plus triste.

​Elle arriva près du vieux pont de pierre qui enjambait la rivière. Ce n'était pas l'endroit lui-même qui était triste, mais ce qu'elle y vit : un vieux banc de bois, tout fissuré et délabré, où personne ne s'asseyait jamais. Il était là, sous les branches dénudées d'un saule, comme abandonné par l'été.

​Élisa s'approcha. Elle prit délicatement la feuille d'or, qui brillait faiblement au petit matin. Elle détacha un minuscule fragment — à peine la taille d'une paillette — et le déposa sur la surface rugueuse du banc.

​Elle ferma les yeux et murmura son souhait, simple et sincère :

​"Je souhaite que ce banc retrouve sa fierté et apporte du réconfort à ceux qui en ont besoin."

​Élisa sentit alors un léger frisson. Elle rouvrit les yeux. Rien n'avait changé, le banc restait gris et fissuré. Un peu déçue, mais fidèle à sa tâche, elle rangea la feuille et se hâta vers l'école.

​Le soir, en revenant par le même chemin, Élisa s'arrêta au niveau du pont. Le banc était toujours là, mais quelque chose était différent. Deux jeunes garçons, habituellement bruyants et toujours en mouvement, étaient assis côte à côte sur le banc. Ils ne faisaient rien de spécial, ils étaient juste assis en silence, regardant la rivière. C'était la première fois qu'Élisa voyait quelqu'un l'utiliser depuis des années.

​La magie ne l'avait pas rendu neuf ou coloré ; elle lui avait rendu sa raison d'être : un lieu de réconfort et de silence. Le cœur réchauffé par cette petite victoire, Élisa sourit.

​C'est l'heure du deuxième jour. Où Élisa devrait-elle aller pour trouver l'endroit ou la personne qui a le plus besoin d'un vœu de réconfort ?

​La vieille bibliothèque du village, toujours sombre et déserte.

​La maison de M. Arnaud, un homme seul dont la cour est couverte de mauvaises herbes.

​L'unique lampadaire sur la place centrale, dont l'ampoule est cassée et qui plonge la place dans l'obscurité.

 

Le Secret de la Feuille D'or (Jours Deux et Trois)

​Jour Deux : L'Arbre Solitaire

​Le deuxième jour, Élisa chercha l'endroit le plus triste et trouva M. Arnaud, l'homme solitaire. Sa petite maison était propre, mais son jardin était une image de désolation, envahi par les mauvaises herbes, comme si l'homme avait perdu la volonté de s'occuper de tout ce qui était beau.

​Élisa se glissa jusqu'au grand pommier qui n'avait donné aucun fruit cette année. Elle déposa une étincelle d'or au pied de son tronc.

​"Je souhaite que la vie et la couleur reviennent dans ce jardin, et avec elles, l'espoir."

​Le soir, elle vit M. Arnaud sortir avec une vieille bêche. Il ne se mit pas à jardiner avec enthousiasme, mais il arracha lentement quelques mauvaises herbes près de son porche. Un petit début, mais un vrai signe que la vitalité commençait à revenir.

​Jour Trois : Le Mur du Sourire

​Le troisième jour, Élisa se dirigea vers la petite place de la ville. L'endroit le plus triste était le mur arrière de la boulangerie, un mur de briques grises, délavé et terne, sur lequel s'arrêtaient tous les regards le matin. C'était un mur qui ne disait rien, un mur sans joie.

​Elle déposa le dernier fragment de la Feuille des Souhaits sur une petite fissure de la brique.

​"Je souhaite que cet endroit terne apporte de la joie simple à tous ceux qui le verront."

​Épilogue : L'Héritage de l'Automne

​Élisa retourna sous le chêne majestueux. La vieille femme l'attendait.

"Tu as terminé ta tâche, Élisa," dit la vieille femme, son sourire plus lumineux que jamais.

​Élisa tendit la Feuille des Souhaits. L'or qui la composait s'était estompé. Elle n'était plus qu'une simple feuille de chêne, marron et douce, mais toujours parfaitement intacte.

​"Elle a donné tout ce qu'elle pouvait," expliqua la vieille femme. "Et maintenant, voici le cadeau de l'automne."

​Elle prit la feuille et souffla doucement sur Élisa. La petite fille ne sentit ni le froid, ni le vent, mais une vague de souvenirs. Elle revit le banc réconfortant les deux garçons silencieux. Elle aperçut M. Arnaud tenant un minuscule plant de fleurs dans sa cour. Et elle imagina le mur de la boulangerie.

​"Regarde le mur, Élisa," l'invita la vieille femme.

​Le lendemain matin, Élisa ne vit pas un mur peint en couleurs vives. Non. À la place, un artiste du village, qui n'avait pas peint depuis des années, avait accroché de petites citrouilles, des dessins de feuilles et des épouvantails joyeux sur ce mur, le transformant en un tableau d'affichage communautaire où les gens déposaient des messages simples et des compliments pour égayer la journée de chacun. Le mur était enfin plein de vie.

​"Le secret de l'automne, ma chère," conclut la vieille femme, "n'est pas la fin, mais la préparation à la beauté à venir. Il ne s'agit pas d'accorder des vœux, mais de te donner le pouvoir de planter les graines de la gentillesse. Ce sont ces petites étincelles de générosité qui assurent que même au milieu de l'hiver, l'espoir et la chaleur demeurent toujours."

 

​Élisa n'oublia jamais ce que la saison des feuilles d'or lui avait appris. Elle garda la feuille de chêne ordinaire en souvenir et, chaque automne, elle cherchait un endroit où une personne à réconforter, sachant que la plus grande magie se trouve dans les petits actes de gentillesse..

Le dernier battement de notre histoire..

 

Beaucoup disent que les gens entrent dans nos vies pour nous apprendre quelque chose. Je sais que tu avais un but dans la mienne : m’apprendre à aimer vraiment. Je me suis accrochée à l’idée que tu serais toujours là pour moi et que tu ne me quitterais jamais. Je ne vais pas te mentir, je me suis toujours imaginée faire ma vie avec toi, et peut-être que je me suis précipitée en pensant que ce serait comme ça, mais crois-moi, depuis que je t’ai rencontré, c’était mon plan, j’ai toujours voulu que tu sois mon dernier amour. Nous avons souvent dit des choses qui nous ont blessés, parfois intentionnellement, d’autres fois sans nous en rendre compte, mais à part ça, c’était agréable de m’intégrer à toi. Dès le début, il y avait une connexion très agréable et incomparable, que, du moins de mon côté, je ne pense pas retrouver chez quelqu’un d’autre. Je n’ai jamais voulu que notre lien se termine, encore moins de cette façon. Et j’apprécie que tu sois resté à mes côtés tout ce temps, et je m’excuse sincèrement pour les erreurs que j’ai commises. Et la vie a été très injuste envers nous, mais les choses arrivent pour une raison, et c'est ce que nous avons dû vivre, ce que nous avions, cela nous a emmené très loin, mais même ainsi, le voyage est terminé... et mon cœur me fait tellement mal..

Mon âme, mes yeux se remplissent de larmes, car il m'est difficile de dire adieu à la personne avec qui je voulais être pour le restant de mes jours.

J'aimerais te demander la faveur de ne jamais m'oublier, car je ne l'oublierai jamais. J'ai aimé chaque regard de tes beaux yeux, chaque baiser, chaque rire, chaque caresse, chaque petit message, chaque câlin, la jalousie, ton bonheur, ta folie, tes aventures, tes « je t'aime », ton affection. J'ai aimé chaque partie de toi, je suis tombée amoureuse même de tes défauts, et je ne te mens pas. J'aimerais pouvoir revenir au jour de notre conversation, où tu m'as promis de ne jamais quitter ma vie et que tu serais toujours là pour moi, où tu m'as dit combien tu m'aimais et combien tu aimais être avec moi. Et ce sont ces souvenirs qui me motivent à écrire ceci.

Tu ne sais pas à quel point le processus de guérison est difficile, celui de lâcher prise, de laisser derrière soi quelqu'un qu'on ne veut pas voir disparaître.

Les larmes aux yeux, je te demande de ne jamais oublier combien je t'ai aimé, toi et tous ceux qui savent que je t'ai donné tout l'amour dont j'avais besoin. Tu sais, je ne regrette pas de l'avoir fait, car je le referais mille fois. Je n'oublierai même pas que je t'ai aimé de toutes mes forces, mais même pas ça N'a pas suffi de continuer à me battre pour notre amour. Et il ne me reste plus qu'à te remercier de faire partie de ma vie. Tu auras toujours une place dans ma vie et dans mon cœur, une place que personne ne te prendra jamais.

Mon âme a explosé et mon cœur s'est brisé parce qu'un jour, tu as changé. Et tu ne sais pas à quel point je regrette que notre relation n'ait pas fonctionné, et je suis sûr que j'aurais tout donné pour que cela change. Je n'oublierai jamais le jour de notre rencontre, car je me souviendrai toujours que ce jour-là, la personne la plus spéciale est apparue et a marqué ma vie d'une manière merveilleuse. Je remercie Dieu de m'avoir permis de te rencontrer, mais il est temps de te laisser ton espace, de te laisser partir. Je te permettrai d'être heureux. Je veux te voir en bonne santé. Si tu vas bien, je le serai doublement. On ne sait pas ce que le destin nous réserve, et Dieu prendra soin de toi. Si tu es fait pour moi, tu seras là. Sinon, je t'aime et je prendrai beaucoup soin de moi.

 

Bonne chance je te souhaite que tu sois toujours heureux et que tu puisses réaliser tous ces choses que tu souhaites, Ne lâche jamais pour ce que vraiment tu veux dans ta vie. J'étais et je suis encore fière de l'homme que j'ai eu la chance d'avoir à mes côtés. Je te remercie pour ce que tu as fait pour moi et pour tout ces beaux moments qu'on a vécu ensemble..

 

 

 

La Montagne Russe des Émotions : Mes Mots après la Rupture 💔

 

Ça fait déjà 1 mois et deux semaines que notre histoire d'amour à prit sa fin.. 

Je ne vais pas te chercher que les premiers jours je sentais que tout était en train de ce défaire c'est- à -dire les plans qu'ils étaient planifié pour nous, nos aventures à futures et le plan de vie qu'on était en train de construire.. cette nuit là tout était en train de tomber en mille de morceaux devant moi et avec les yeux plein d'eau et mon cœur en miettes j'ai enfin réalisé ce que je voulais pas accepter il y a quelques mois avant car au fond de moi je savais que tout ça allait avoir un point final un jour à l'autre.  

 

Même si j'essayais de faire semblant et je m'attachais plus à toi, avec l'idée que tout allait se résoudre et qu'on pourrait passer cette épreuve ensemble comme un véritable equipe.

 

 Je voyais que les deux on était pas dans la même direction pour continuer à ce battre pour cela qui nous attachait depuis un ans, cinq mois.. notre connexion, ainsi la compréhension de nos ideales, nos besoins nos buts dans la vie, le sentiment de volonté de vouloir rester et de toujours essayé de nourrir cet amour qu'on sentait un pour l'autre chaque jour. 

 

Même bon après un bon moment de recul j'ai enfin compris que dans une relation ce n'est pas juste une seule personne qui doit faire avancer le navire de la relation, sinon deux partenaires ensemble. Et montré que peu importe les longues vagues que leur amour peut passer il seront en pleine capacité de surmonter cela toujours en train de marcher de la main tout les deux, cette vague peu importe sa la force de puissance qu'elle a. Si tous les deux donnent le meilleur de chacun tout va être plus léger par la suite..

 

Dans toute cette situation même si n'as pas été toujours parfait on a pu avoir aussi des très magnifiques expériences ensemble ! Et ça je vais le garder dans mon cœur comme une petite boite très précieuse de souvenirs, Comme nos folies et nos rires partagés. 

 

Pendant cette période de deuil j'ai tendance à écrire chaque fois que une émotion qui commence à prendre le dessus de mon intérieur..

 

Voici un des textes que j'ai réalisé pendant cette épisode..

 

Je ne t'aime pas, chère Deuil,

 

mais je ne te rejette plus. Je sais que je ne t'ai pas demandée, ni choisie, mais tu es là.

 

Et même si c'est dur, je continuerai à chercher un moyen de vivre avec toi, sans me perdre en toi.

Chère Deuil, Au début, je te détestais… Tu es arrivée sans prévenir, tu m'as brisée sans demander la permission. J'ai essayé de t'éviter, de te combattre, mais j'ai réalisé qu'au fond, tu es le reflet de l'amour que je ressens.

 

Tu m'as appris que tu n'es pas une ligne droite, mais une spirale… Un va-et-vient entre souvenirs et silences. Il y a des jours où je peux te nommer sans m'effondrer, et d'autres où même respirer me fait mal.

Un jour à la fois.. ❤️‍🩹

Je te remercie pour une seule chose est celle-ci est de me permettre vivre tout ce que je suis en train de vivre en ce moment.. Même si par moment c'est pas toujours évident de ressentir cette folle montagne russe d'émotions parce il y a des journées, où je sens que je suis fortement capable de passer par chaque épreuve que cette situation me mets depuis que tu n'est plus à mes côtés..  

Mais il y a également des journées où je retombe dans l'épisode de la tristesse et ou je me permet de me casser complètement émotionnellement mais de la même façon que je me permet vivre cet épisode également je me relève par la suite avec une force que je ne passais pas avoir.

 

Dans cette nouvelle étape dans ma vie j'ai pu me redecouvrir à nouveau et j'ai pu découvrir des nouvelles choses de moi-même que je ne passais jamais pouvoir avoir cette capacité et cette belle chance.

Chers lecteurs, 

Le texte partager par la suite est créé par un de mes amis, j'espère que ça puisse arriver au plus fond de vos cœurs et que ça fasse prendre une conscience de que tout le monde on a le droit d'être entendu et respecter comme n'importe qui ! 

Bonne lecture!  

Votre blogueuse Laura Dena 

Le droit d'être écoutés 

De nos jours, la société en général a un grand problème. Elle est devenue malade. Cette maladie est appelée individualiste. Ces problèmes surviennent partout : à l’école, au travail, dans les transports en commun, etc... La base, c’est d’être respectueux envers tout le monde. Malheureusement, la forme du respect se perd de plus en plus avec les différents types de violence, de méchanceté et d’intimidation.  Au lieu de se préoccuper des autres, les gens sont généralement centrés sur eux-mêmes. Il arrive que les personnes deviennent violentes envers les autres. Elles s’attaquent surtout aux plus vulnérables. Il faut absolument recommencer à avoir du respect envers tous. Depuis la pandémie, on observe qu’il y a un pas en arrière dans plusieurs aspects de la vie notamment sur le respect. De plus, la violence est en augmentation dans les grandes villes. Prendrons l’exemple de Montréal, 21% des crimes sont commis par la violence conjugale, c’est incroyable et désolant de constater tous ces reculs en 2025 dans notre société. Dans ce texte, je vais me présenter et aborder les préjugés contre les personnes handicapées.  

En tant que personne handicapée, je constate quotidiennement qu’il y a encore de nos jours beaucoup de préjugés sur le sujet des personnes en situation d’handicap. C’est mon premier texte sur les préjugés envers les personnes handicapées. Dans ce reportage, je vais rédiger une brève biographie de moi et aborder des défis dont les personnes handicapées sont confrontées au quotidien. De plus, ce texte traitera des préjugés que les gens ont  envers les personnes en situation d’handicap. Également, les défis que les personnes handicapées doivent affronter au quotidien. Je vais donc essayer de comprendre pourquoi il y a tant de préjugés sur ces minorités de la société. Tout d’abord, voici une courte présentation de l’auteur.   Mon nom est Gabriel Lavigne. J’ai 31 ans. Je suis une personne en situation de handicap. J’ai la paralysie cérébrale depuis ma naissanceCette déficience est motrice. Elle s’attaque au cervelet donc je ne peux pas marcher. Je ne parle pas. Également, je ne m’alimente pas par la bouche donc je suis gavé depuis l’âge de 5 ans. De plus, je fais de l’hypersalivation, c’est-à-dire la bave sort de ma bouche. Cette partie de mon handicap rend souvent mal à l’aise les gens qui viennent me parler. J’utilise aussi un tableau de communication et un iPad, car je suis incapable de parler. Ces deux équipements me permettent de bien communiquer avec les gens dans le but d’exprimer tout ce que je veux dire. Il m’arrive fréquemment d’avoir des mouvements souvent incoordonnés. Cela veut dire que jpeux notamment frapper les choses ou les gens d’une façon involontaire. Je suis en fauteuil motorisé. De plus, je suis super intelligent et je comprends tout. Par contre, les gens sont souvent portés à m’infantiliser. Comme je communique d’une façon différente, je suis souvent incompris parce que les gens ne prennent pas le temps de m’écouter pour bien me comprendre. Cependant, j’ai une déficience intellectuelle tellement légère mais cela ne m’empêche pas d’être brillant. En premier lieu, la paralysie cérébrale est un état qui se manifeste de différentes manières. Dans le monde entier, 17 millions de personnes sont touchées par ce handicap. Cette déficience physique n’est pas une

maladie dégénérative. Les gens qui sont atteints de la paralysie cérébrale n’en meurent pas. Leur handicap reste stable. Cependant, si quelqu’un développe des problèmes respiratoires associés à leur état. Par exemple, elle peut mourir d’une pneumonie. Une personne atteinte de paralysie cérébrale peut notamment avoir de la difficulté à avaler sa salive et sa nourriture. Si c’est le cas, les aliments peuvent aller dans leurs poumons, cela cause des pneumonies par aspiration. De plus, la pneumonie par aspiration peut aussi mener au décès. Ce taux de mortalité se situe autour de 21%. Par conséquent, la personne doit arrêter de manger par la bouche donc elle doit être gavée.  

En ce qui concerne ce soin de santé, le gavage est une façon de s’alimenter. Au début, la personne prend le liquide par le nez. Ensuite, elle est alimentée par une gastrostomie. En fait, la gastrostomie est un bouton, installé au-dessus du nombril de la personne. Le gavage est un liquide ressemblant à du lait. Ce lait concentré passe par un tube, branché sur ce bouton qui est directement relié par l’estomac. Il est concentré, contient toutes les vitamines nécessaires pour bien se nourrir, dans le but d’avoir une bonne santé. En général, il dure en moyenne d’une heure. Si la personne prend plus de boîtes de gavage, la durée peut être bonifiée par exemple : deux cannes c’est deux heures, trois cannes c’est trois heures… Ce soin peut être notamment fait pendant la nuit ou 24 heures par jour. Les gens qui prennent le gavage en continu. Ils sont souvent hospitalisés. Aussi, cela peut dépendre de l’état de santé de la personne. En général, les personnes gavées le prennent trois fois par jour : matin, midi et soir. Cependant, la situation du patient est évaluée par un  médecin ou une nutritionniste. À la fin du soin, il est rincé avec une seringue qui contient de l’eau pour pousser le gavage dans l’estomac. Également, la prise des médicaments se fait de la même façon. De plus, plusieurs personnes utilisent une pompe pour faire le gavage. On met le liquide concentré dans un sac, puis on la programme selon le temps du gavage. Ce temps varie de chaque personne gavée. 

De plus, il y a un fait sur ce soin de santé qu’il est important de savoir. À une certaine époque, le gouvernement a mis en place une loi (La loi 90). Ce règlement disait que le gavage était considéré comme un acte médical. Il devait être absolument administré par un infirmier. Cette détective disait si l’endroit accueillant des personnes handicapées ayant un gavage. Si le lieu d’activité n’avait pas un infirmier de disponible pour donner un gavage. En revanche, la personne gavée n’était pas autorisée à fréquenter l’activité. Cette loi s’appliquait aussi aux sorties scolaires. Il fallait qu’une personne de l’entourage vienne administrer le gavage à la personne gavée. Par contre, dans les écoles spécialisées, il y a des infirmières sur place pour l’assurer. Heureusement, la loi des soins infirmiers a changé pour permettre à n’importe qui d’offrir ce soin de santé. Le gavage n’est plus considéré comme un acte médical depuis presque quinze ans. Tous les intervenants de loisirs ou des écoles spécialisées sont censés avoir la formation pour procéder au gavage. Maintenant, la personne gavée peut aller faire des activités. 

 En ce qui concerne la déficience motrice, la plupart des personnes handicapées physiques comprennent très bien. Elles doivent de se faire respecter de la même façon qu’une autre 

personne ayant aucun handicap. Toutefois, le grand public a souvent tendance à infantiliser cette partie de la population. Lorsque cela arrive, les personnes en situation d’handicap détestent de se faire traiter comme un enfant ou un animal. Elles doivent absolument être considérées comme une personne à part entière. Cette manière d’aborder les individus handicapés se produit dans plusieurs situations de la vie quotidienne comme dans le transport adapté, à l’hôpital, les écoles spécialisées, les centres de loisirs. De plus, les intervenants ignorent leur comportement en refusant de le modifier. Lorsqu’une personne est infantilisée, cela se traduit par un manque de respect. De plus, cela diminue leur confiance en soi et envers les gens. Lorsqu’elles se font infantiliser, les personnes à mobilité réduite se sentent encore plus fragiles et vulnérables.   

Un autre problème concernant le parcours scolaire des personnes handicapées. En premier lieu, les jeunes restent à l’école pendant une longue période, jusqu’à l’âge de 21 ans. Ces adolescents et ces jeunes adultes font des études du niveau primaire sur une longue période dans les écoles spécialisées. Pourtant, plusieurs élèves ont la capacité d’en faire beaucoup plus pendant leur parcours scolaire. Ils apprennent les cours de base comme le français, les mathématiques, l’anglais, les arts plastiques, l’histoire et l’éducation physique, mais la majorité des enseignants ne mettent pas à jour le programme du ministère de l’Éducation pour répondre aux besoins de leurs élèves, comme ils sont censés le faire. En revanche, ces étudiants restent toujours au niveau primaire pendant plusieurs années. Les jeunes en situation d’handicaps sont découragés par les situations qui se produisent 

dans les écoles, à tous les niveaux. Il y a une statistique intéressante le taux de diplomation chez les étudiants en situation d’handicap. En 2017, 28% de ces écoliers n’avaient pas leur diplôme. Habituellement, les jeunes handicapés ne possèdent pas leur diplôme d’études secondaires dans le but de poursuivre au cégep et à l’Université.   

Rendu à l’éducation des adultes, les personnes handicapées prennent plusieurs années avant d’atteindre et de terminer le niveau secondaire. De plus, plusieurs d’entre eux peuvent atteindre leurs limites, ils n’auront donc jamais leur diplôme d’études secondaires. Aussi, certains ressentent un manque de confiance, de l’anxiété quant à leurs performances en raison du manque de préparation et d’encadrement fourni par le secteur jeune pour poursuivre de leurs études. La plupart des élèves en situation d’handicap n’atteindront jamais l’Université dans le but de pratiquer un métier selon leurs intérêts. Cette réalité est décevante, car de nombreuses personnes sont capables d’atteindre le niveau supérieur. De plus, il existe le programme FPT-FMS qui prépare les jeunes à exercer un métier. Ils offrent des cours de préparation vers un métier. Ils peuvent faire des stages dans les entreprises mais sans respecter les buts de l’élève. Cependant, les enseignants les découragent lorsque les étudiants viennent leur parler d’atteindre le niveau universitaire.  Pour continuer avec l’éducation des personnes en situation d’handicap, dans ces établissements scolaires du secteur jeune, on les appelle écoles hôpitaux. Chaque étudiant est touché de différents handicaps à différents niveaux : physique, intellectuel, auditif, visuel, problèmes de comportement ou diverses autres formes

d’handicaps. Également, les jeunes reçoivent des services de réadaptation et médicaux comme de la communication non-orale, un soin infirmier, la physiothérapie, l’éducation spécialisée, l’ergothérapie, et plusieurs autres services. Ce sont des services nécessaires à la santé et à la réadaptation. Par contre, le temps de thérapie ou de rendez-vous limite énormément le cheminement académique de l’élève. Cependant, la plupart de ces services n’existent pas dans les écoles pour adulte. Les jeunes handicapés peuvent aller dans ces milieux scolaires jusqu’à l’âge de 21 ans. 

Une difficulté rencontrée par les élèves qui habitant en région, les personnes handicapées doivent aller dans des écoles montréalaises. Elles peuvent venir de régions éloignées en raison du manque d’écoles spécialisées dans les autres villes. Par exemple, un étudiant habite dans la région de Lanaudière, il doit venir à Montréal pour aller étudier en raison du manque d’écoles spécialisées dans sa région. Le trajet peut prendre une heure et plus par jour, selon la région habitée par l’élève. Il faudrait construire des écoles spécialisées partout au Québec pour faciliter les déplacements de ces élèves handicapés, cela limiterait le temps concernant le trajet. 

Ce texte abordera le sujet de la communication non-orale en profondeurEn général, le public associe une personne qui ne parle pas à la surdité ou à une déficience intellectuelle profonde. Cependant, ce n’est pas toujours le cas. En effet, ces personnes appelées non-oraux entendent très bien. Aussi, elles comprennent tout. De plus, plusieurs de ces citoyens sont super intelligents. Ces gens utilisent un appareil de communication avec une synthèse vocale ou un tableau de communication pour s’exprimer. Il existe plusieurs formes de tableaux dans le but de pouvoir communiquer. Par exemple : il existe un tableau remplit d’images, appelés des pictogrammes. Il contient plus d’une centaine de symboles variés comme le mot maison en illustré en image. De plus, il existe un autre tableau de communication avec des débuts de mots pour former des mots entiers. Prendrons l’exemple du mot bateau. Il y a les syllabes de ce mot : ba te au sur ce tableau. Ces syllabes sont en couleur pour les identifier. Elles sont par ordre alphabétique sur la plaquette.   Concernant l’appareil de communication, il fournit avec une synthèse vocale. Cela permet de communiquer plus rapidement lors des discussions de groupe. Dans cet outil, il y a un prédicteur de mots qui permet de choisir le mot que la personne veut dire. Exemple : prix, elle écrit les premières lettres du mot. Le mot apparait sur l’écran de l’ordinateur, la personne a juste à cliquer sur le mot, puis le mot apparait. Cependant, le public général ne prend pas le temps de d’écouter ni de comprendre les gens non-oraux. Cette réalité est désolante parce que cette écoute et être compris est si précieuse pour cette communauté. Cela peut provoquer de l’anxiété et des grosses frustrations à cette partie de la populationIl est important de savoir que ce combat dure depuis super longtemps. Cette bataille est menée au sein des laboratoires de communication non-orale dans les écoles spécialisées. De plus, personne n’en parle pas dans les médias ou à la société pour faire connaitre la communication non-orale au grand public dans le but de briser les préjugés en lien avec la CNO (communication non-orale). Jamais, on voit une personne utilisant un appareil de communication à la télévision ou entend à la radio, c’est désolant de constater ce recul dans les médias traditionnels. Ces personnes peuvent être vraiment pertinentes et intéressantes pour faire dans le domaine télévisuel ou radiophonique. Un autre point important, le gouvernement se ferme les yeux envers les personnes non oraux puisqu’il accorde un appareil de communication à vie à un individu alors il a besoin de plusieurs appareils au courant de sa vie en raison des bris ou la longévité de ces systèmes d’aide à la communication. Ces aides à la communication sont essentielles pour développer l’autonomie car ces appareils parlent alors que le tableau, il faut que les gens lisent les mots pointés par la personne non orale, c’est parfois frustrant. De plus, aux yeux de la politique, cette population n’existe pas alors qu'elle est présente au sein de la société québécoise.

Maintenant, le texte abordera l’inaccessibilité du métro de Montréal et les transports adaptés de la STM, c’est probablement le plus grand recul qui est présent de la société en matière  de discrimination envers les personnes handicapées. C’est incroyable de penser qu’en 2025, il y a seulement trente stations qui seront accessibles aux personnes à mobilité réduite sur les 68 stations du réseau. Cela représente 44,1 % des stations du métro qui sont accessibles aux personnes handicapées. De plus, le métro est adapté à cette clientèle depuis peu de temps. Les premières stations avec ascenseurs étaient à Laval parce que le métro était nouveau pour la ville de Laval, en 2008. La première station à Montréal était Jean Drapeau, en 2018, soit plus de cinquante ans après la construction de ce moyen de transport, c’est incroyable de constater ce recul de la part de la STM. Ces situations sont carrément de la discrimination de la part de ce service gouvernemental fédéral envers les personnes en situation d’handicap.  
 
En ce qui concerne, le transport adapté de la STM n’est pas vraiment adapté parce qu’ils peuvent arriver une demi-heure plus tard de l’heure prévue. Prenons l’exemple d’une personne qui attend un transport pour aller à un rendez-vous médical. Par ce problème, elle est en retard à l’heure prévue de son rendez-vous.  Le stress peut s’accumuler avec ces retards. De plus, ce sont des chauffeurs de taxi privés qui embarquent les usagés. Aussi, ils infantilisent leur clientèle. Toutes ces situations créent de l’anxiété lorsque les usagers embarquent dans un taxi parce que ce ne sont pas tous les chauffeurs qui sont respectueux. Souvent, ils sont irrespectueux à leur situation. De plus, il y a aussi le problème du trajet. Un chemin peut prendre parfois quatre heures pour un chemin menant à une courte route. Si le métro de Montréal serait complètement adapté, les personnes handicapées auraient énormément plus d’autonomie dans leurs déplacements quotidiens. Pour contrer à ce problème, il devrait avoir une table ronde pour en discuter dans le but de trouver des solutions parmi plusieurs personnes handicapées, ergothérapeute et d’autres intervenants afin d’améliorer le réseau de transport d’être mieux adapté à cette clientèle. Pour continuer, les personnes handicapées sont souvent prises par pitié par la société en général. Cependant, elles ne font pas pitié. Au contraire, elles vivent majoritairement bien en communauté. Ces gens vivent des aventures magnifiques dans plusieurs contextes de la vie. Oui, cette population a besoin de plus d’aide mais elle peut réaliser de grandes choses avec de la persévérance. Malheureusement, la société ne s’est pas adaptée pour permettre d’accomplir ses buts, rêves et projets. Elle se ferme les yeux plutôt que de permettre d’avoir une visibilité dans la communauté.  En ce qui concerne le domaine artistique, depuis quelques années, on commence à voir une augmentation de personnes handicapées présentes à la télévision. Cependant, il n'y a pas assez de vedettes en situation d’handicap dans les domaines artistiques : à la télévision, au théâtre, au cinéma, en musique ou d’autres types d’arts. S’il y a plus de personnalités connues en situation d’handicap, le public aurait probablement moins de préjugés sur ces gens vulnérables. Par contre, les personnes handicapées commencent à se faire voir à la télévision. Le monde de la télévision a pris combien de temps avant d’en engager une personne ayant un handicap pour jouer ou animer à l’écran. Cependant, le public ne voit aucune vedette handicapée utilisée un appareil de communication à la télévision ou au cinéma ni d’entendre leur synthèse vocale à la radio, c’est désolant de constater qu’il y a ce grand recul dans les médias.  Si le public en voyait des gens non oraux. Ils auraient probablement moins de préjugés envers les personnes handicapées, surtout sur la communication non orale. Il existe bien sûr la chaîne communautaire ami télé. Ce réseau de télévision présente des animateurs en situation d’handicap. En revanche, les grandes chaînes populaires comme la société d’état de Radio-Canada ne présentent jamais ou rarement des vedettes avec un handicap pour animer une émission de télévision. C’est désolant de constater ce recul dans le milieu des télécommunications, les personnes handicapées peuvent être vraiment pertinentes dans les discussions de groupe alors pourquoi ne pas les inviter sur les plateaux de tournage ou en direct à la télévision en utilisant un appareil de communication. Il est malheureux de constater ce grand recul en télécommunications de nos jours. 

Maintenant, ce texte portera sur les services offerts à la clientèle dépassant l’âge de 21 ans. Après cet âge, la majorité des personnes handicapées n’a pas de services. Tous les services de réadaptation sont arrêtés rendu dès 21 ans. Par contre, cette tranche de la population a toujours besoin de la réadaptation. Avec leur vieillissement, ils peuvent avoir des douleurs physiques. Certains ont des maladies dégénératives dont ils doivent recevoir des soins médicaux en continu. C’est inacceptable de ne plus avoir recours à ces services, à l’âge de 21 ans. Ces aides sont essentielles pour nous permettre de se sentir mieux au niveau physique et psychologique parce que les deux vont ensemble.  

Les écoles spécialisées comme Victor Doré et Joseph Charbonneau n’existent pas à l’éducation des adultes. Oui, le centre Champagnat existe. Ils ont des cours académiques et un programme de participation sociale (PS). Cependant, il n’y a pas de services de réadaptation ni médicaux dans ce centre d’éducation pour adultes. Ceux qui ont des besoins particuliers sont autorisés à avoir un accompagnateur pour les aider en classe, au dîner, à l’habillage et d’autres tâches diverses. Par contre, ce n’est pas assez. De plus, l’accompagnateur est considéré comme travailleur autonome, c’est-à-dire, si l’élève s’absente en raison d’une maladie, son accompagnateur ne travaille pas. De plus, il n’est pas payé pour cette journée d’absence. Ces situations sont inacceptables parce que ces programmes de réadaptation sont essentiels pour que les personnes handicapées conservent leurs acquis au niveau de la réadaptation. Avec le vieillissement de la population, ces personnes ont besoin d’aide pour maintenir leurs acquis en matière de réadaptation. Si le gouvernement ouvre des centres d’éducation pour adultes handicapés offrant des services de réadaptation, ils seront mieux à tous les niveaux. Il faut absolument des écoles pour adulte comme ceux du secteur jeunes pour leur offrir tous les services dans le but de répondre au besoin de chacun. Cependant, ceux qui ont des handicaps lourds n’ont pas d’écoles pour les accueillir. Souvent, ils vont faire des activités, mais les animateurs des centres ne sont pas aussi qualifiés comme dans les écoles spécialisées. Les usagés attendent que le temps passe. Ils sont parfois mal traités par les animateurs. Certains moniteurs les infantilisent. Beaucoup d’intervenants de ces centres de loisirs s’en foutent d’eux. De plus, ces usagés ne sont pas lavés par leur propre famille. Ce sont des situations inacceptables pour l’image corporelle et pour la santé de la personne. Le gouvernement devrait absolument investir pour construire des écoles pour adultes semblant à celles aux jeunes de 4 ans jusqu’à 21 ans pour s’assurer la sécurité et le bien-être de tous. Plusieurs centres n’offrent pas de jeux, de sorties et d’autres occupations selon les intérêts des participants. Ces activités sont souvent imposées par l’équipe d’animation. Les centres devraient vraiment avoir une fiche avec les goûts de l’usager et adapter les jeux selon les intérêts de chacun. Il faudrait vraiment des écoles pour accueillir les personnes lourdement handicapées adultes dans le but de continuer leurs acquis pour leur permettre une meilleure qualité de vie. 

Un autre aspect de la réalité des personnes en situation d’handicap après 21 ans. À l’âge adulte, beaucoup de personnes handicapées habitent toujours chez leurs familles biologiques parce qu’ils ne peuvent pas rester seuls en appartement donc leurs parents s’occupent d’eux. Pour les personnes autonomes, ils sont en appartements supervisés. Il y a aussi des résidences pour les accueillir, mais certaines sont mal adaptées pour y vivre. Cependant, il y a aussi des milieux de vie où les personnes habitent très bien. Avec le vieillissement de la population, plusieurs personnes handicapées ont des parents âgés, donc elles ont plus besoin d’aide. Lorsque leurs parents décèdent, ils se retrouvent complètement seuls.  De plus, plusieurs sont enfants uniques donc ils se retrouvent en CHLSD avec des personnes âgées mais ces milieux de vie ne sont pas adaptés à l’âge de cette partie de la population. Il y a d’autres que leurs parents les abandonnent littéralement. Ils vivent donc dans ces maisons. Par contre, ces résidents sont souvent mal traités par leurs intervenants. De plus, à l’âge adulte, l’individu doit partir de son logis pour être autonome. Cependant, les personnes lourdement handicapées ne peuvent pas devenir autonome parce que leur situation est trop lourde pour habiter seul en logement. Elles ont grandement besoin d’aide en continu, 24/24 7jours/7. Ce manque de ressources est littéralement inacceptable de la part du gouvernement de mal réagir envers les personnes handicapées. Il devrait mettre en place des programmes d’aide à chaque personne pour dans toutes les sphères de la vie notamment en matière d’habitation pour offre à cette population des logis pour leur bien-être et sécuritaire. Le sport est un élément important dans la vie. Les personnes handicapées font énormément d’activités sportives pour améliorer leur motricité. Beaucoup de 

Les sports peuvent être adaptés. Prendrons l’exemple du hockey, ils jouent au hockey dans un gymnase. Ils mettent leur bâton sur le fauteuil avec des attaches pour mettre sur le côté du fauteuil pour ceux qui ont de la difficulté avec la manipulation des mains. Aux quilles, on utilise la rampe pour jouer. Certains sports sont littéralement adaptés pour la clientèle comme le boccia.

Le boccia est un jeu ressemblant à la pétanque. Par contre, les boules sont de couleurs rouges et bleu. Pour ceux qui ne peuvent pas lancer la boule, il y a des rampes pour effectuer leur lancée. Le joueur pousse la balle sur cette rampe. Le but du jeu est de s’approcher du cochonné, une balle blanche. Les personnes handicapées ont besoin de dépenser leur énergie. Prendrons l’exemple de la natation, c’est un sport merveilleux pour les personnes en fauteuil sont toujours assises.  Lorsqu’elles pratiquent la natation, elles se sentent libre dans l’eau parce que leurs membres sont souvent immobiles mais dans la piscine toutes les parties du corps bougent. Les personnes handicapées se sentent complètement libres dans l’eau. Elles peuvent nager avec des équipements adaptés. Par contre, il faut les aider pour les installer dans l’eau. 

Il y a une autre activité que les personnes handicapées peuvent aussi pratiquer, c’est faire du vélo. Cette bicyclette est faite sur mesure, dépendant des besoins de la personne. Elle a des attaches sur les pieds. De plus, le vélo possède un dossier pour installer bien la personne d’une manière sécuritaire. Elles vont parfois en randonnée. Cependant, elles doivent être accompagnées pour prévenir les accidents ou les renversements du vélo pour éviter les blessures.  En résumé, la vie des personnes handicapées n’est pas si difficile qu’une autre personne sans handicaps. Il faut juste adapter leur vie et arrêter de porter des préjugés contre les personnes handicapées. Pour terminer, il faut vraiment avoir une société plus ouverte et respectueuse envers toutes les différences. 

Combattre les préjugés contre les personnes handicapés

nos jours, la société en général a un grand problème. Elle est devenue malade. Cette maladie s’appelle individualiste. Ces problèmes surviennent partout : à l’école, au travail, dans les transports en commun, etc... La base, c’est le respect envers tous. Malheureusement, la forme du respect se perd de plus en plus avec les différents types de violence, de méchanceté et d’intimidation, etc… Aussi, les gens ne pensent qu’à eux. À la place de se soucier des autres, ils sont généralement centrés sur eux-mêmes.... Certaines personnes deviennent violentes avec les autres, surtout les plus vulnérables. Il faut absolument recommencer à avoir du respect envers tous. Depuis la pandémie, on observe qu’il y a un pas en arrière dans plusieurs aspects de la vie notamment sur le respect. De plus, la violence augmente dans les grandes villes. Prendrons l’exemple de Montréal, 21% des crimes sont commis par la violence conjugale, c’est incroyable et désolant de constater tous ces reculs en 2025 dans notre société. Dans ce texte, je vais me présenter et aborder les préjugés contre les personnes handicapées, En tant que personne handicapée je constate quotidiennement qu’il y a encore de nos jours beaucoup de préjugés sur le sujet autour des gens en situation d’handicap. Cet article est mon premier texte sur les préjugés à propos des personnes handicapées. Dans ce reportage, je vais faire une petite biographie de moi, aborder des défis dont les personnes handicapées doivent surmonter au quotidien. De plus, ce texte portera sur les préjugés que les gens ont contre les personnes en situation d’handicap. Également, les défis que les personnes handicapées doivent affronter au quotidien. Je vais donc essayer de comprendre pourquoi il y a tant de préjugés sur ces minorités de la société.

Tout d’abord, voici une courte présentation de l’auteur.  

Mon nom est Gabriel Lavigne. J’ai 31 ans. Je suis une personne en situation d’handicap. J’ai la paralysie cérébrale depuis ma naissance. Cette déficience est motrice. Elle s’attaque au cervelet , donc je ne peux pas marcher. Je ne parle pas. Également, je ne m'alimente pas par la bouche, donc je suis gavé depuis l’âge de 5 ans. De plus, je fais de l’hypersalivation, c’est-à-dire la bave sort de ma bouche. Cette partie de mon handicap rend souvent mal à l’aise les gens qui viennent me parler. J’utilise aussi un tableau de communication et un iPad parce que je ne parle pas. Ces deux équipements me permettent  de bien communiquer avec les gens dans le but d’exprimer tout ce que je veux dire. Également, mes mouvements sont souvent incoordonnés. Je peux notamment frapper les choses ou les gens d’une façon involontaire parce que mes mouvements sont incoordonnés. Je suis en fauteuil motorisé. De plus, je suis super intelligent et je comprends tout. Par contre, les gens sont souvent portés à m’infantiliser. Comme je communique d’une façon différente, je suis souvent incompris parce que les gens ne prennent pas le temps de m’écouter pour bien me comprendre. Cependant, j’ai une déficience intellectuelle tellement légère mais cela ne m’empêche pas d’être brillant. 

Tout d’abord, la paralysie cérébrale est un état. Il y a 17 millions de personnes sont affectées dans le monde entier. Cette déficience physique n’est pas une maladie dégénérative. Les gens qui sont atteints de la paralysie cérébrale n’en meurent pas. Leur handicap reste stable. Cependant, si quelqu’un développe des problèmes respiratoires associé à leur état. Par exemple, elle peut mourir d’une pneumonie. Une personne ayant la paralysie cérébrale peut notamment avoir de la difficulté à avaler sa salive et la nourriture. Si c’est le cas, les aliments peuvent aller dans leurs poumons, cela cause des pneumonies par aspiration. De plus, la pneumonie par aspiration peut aussi mener au décès. Ce taux de mortalité se situe autour de 21%. Par conséquence, la personne doit arrêter de manger par la bouche donc elle doit être gavé.  En ce qui concerne ce soin de santé, Le gavage est une façon de s’alimenter. Au début, la personne prend le liquide par le nez. Ensuite, elle est alimentée par une gastrostomie. En fait, la gastrostomie est un bouton, installée au-dessus du nombril de la personne. Le gavage est un liquide ressemblant à du lait. Ce lait concentré passe par un tube, branché sur ce bouton qui est directement relié par l’estomac. Le lait concentré contient toutes les vitamines nécessaires pour bien se nourrir dans le but d’avoir une bonne santé. Le temps du gavage dure en moyenne d’une heure généralement. Si la personne prend plus de boîtes de gavage. Sa durée peut être bonifiée par exemple : deux cannes c’est deux heures, trois cannes c’est trois heures… Ce soin peut être notamment fait pendant la nuit ou 24 heures par jour mais ce sont des cas d’hospitalisation ou cela dépend de l’état de santé de la personne. En général, le gavage se prend trois fois par jour : matin, midi et soir mais tout est évalué par un médecin ou une nutritionniste. À la fin du soin, il est rincé avec une seringue qui contient de l’eau pour pousser le gavage dans l’estomac. Également, la prise des médicaments se fait de la même façon. De plus, plusieurs personnes utilisent une pompe pour faire le gavage. On met le liquide concentré dans un sac, puis on programme cette pompe selon le temps du gavage. Ce temps varie de chaque personne gavée. Un fait sur ce soin de santé est important de savoir. À une certaine époque, Le gouvernement a mis en place une loi (La loi 90). Ce règlement disait que le gavage était considéré comme un acte médical. Il devait être absolument administré par un infirmier. Ce règlement disait si l’endroit accueillant des personnes handicapés ayant un gavage mais si un infirmier n‘était pas disponible sur les lieux de l’activité pour faire le gavage. La personne n’était pas autorisée à fréquenter l’activité. Cette loi s’appliquait aussi aux sorties scolaires. Il fallait qu’une personne de l’entourage vienne administrer le gavage à la personne gavée. Par contre, dans les écoles spécialisées, il y a des infirmières sur place pour l’assurer. Heureusement, la loi des soins infirmier a changé pour permettre à n’importe qui peut offrir ce soin de santé. Le gavage n’est plus considéré comme un acte médical depuis presque quinze ans. Tous les intervenants de loisirs ou des écoles spécialisées sont censés avoir la formation pour procéder au gavage. Maintenant, la personne gavée peut aller faire des activités. En ce qui concerne la déficience motrice, la plupart des personnes handicapées physiques comprend très bien. Elles doivent de se faire respecter de la même façon d’une autre personne sans handicap. Cependant, le grand public a souvent tendance à infantiliser les gens en situation d’handicap. Ils détestent de se faire traiter comme un enfant ou un animal parce qu’ils doivent être considérée comme une personne à part entière. Ce problème arrive dans plusieurs circonstances de la vie quotidienne. Par exemple, dans le transport adapté, à l’hôpital, les écoles spécialisées, les centres de loisirs. De plus, les intervenants qui le font ignore leur comportement et refuse de le changer. Lorsqu’une personne se fait traiter en enfant, c’est un manque de respect total. De plus, se faire infantiliser enlève de la confiance en soi et envers les gens. Lorsqu’elles se font infantiliser, les personnes à mobilité réduite se sentent encore plus fragiles et vulnérables.  Un autre problème reliant au cheminement scolaire des personnes handicapées. D’abord, les jeunes fréquentent longtemps l’école jusqu’à 21 ans. Dans les écoles spécialisées, ces adolescents et adultes font des études du niveau primaire pendant très longtemps. Alors, beaucoup d’élèves sont capables d’en faire beaucoup plus pendant leur cheminement scolaire. Ils apprennent les cours de base comme le français, les mathématiques, l’anglais, les arts plastiques, l’histoire et l’éducation physique. Cependant, la majorité des enseignants n’adaptent pas le programme du ministère de l’Éducation aux besoins de leurs élèves comme ils sont censés le faire. À la place, ces étudiants restent toujours au niveau primaire durant plusieurs années. Cela décourage ces jeunes à tous les niveaux. En 2017, 28% de ces écoliers n’avaient pas leur diplôme. Généralement, les jeunes handicapés n’ont pas leur diplôme d’études secondaires dans le but de poursuivre au cégep et à l’Université. Rendu à l’éducation des adultes, ça leur prend plusieurs années avant d’atteindre et finir l’étape du secondaire. De plus, plusieurs peuvent atteindre leurs limites. Ils n’auront jamais leur diplôme d’études secondaires. Certains vivent de l’anxiété de performance en raison du manque de préparation et d’encadrement par le secteur jeune pour la continuation de leurs études. La plupart des élèves en situation d’handicap n’atteindra jamais l’Université dans le but de pratiquer un métier selon leurs intérêts. Cette réalité est décevante parce que beaucoup sont capables d’atteindre le niveau supérieur. Aussi, il y a le programme FPT-FMS qui forme les jeunes pour pratiquer un métier. Par contre, les enseignants les découragent lorsque les étudiants leur parlent d’atteindre le niveau universitaire.  Pour continuer avec l’éducation des personnes en situation d’handicap, dans ces établissements scolaires du secteur jeune sont appelés écoles hôpitaux. Tous les étudiants sont atteints de différents handicaps à différents niveaux: physique, intellectuelle, auditif, visuel, problèmes de comportement ou plusieurs autres formes de handicaps. Également, les jeunes reçoivent des services de réadaptation et médicaux comme de la communication non orale, un soin infirmier, la physiothérapie, l’éducation spécialisée, l’ergothérapie, et plusieurs autres services. Ce sont des services nécessaires à la santé et à la réadaptation. Par contre, le temps passé en thérapie ou en rendez-vous limite énormément le cheminement académique de l’élève. Cependant, la plupart de ces services n’existent pas dans les écoles pour adultes. Ils peuvent aller dans ces écoles jusqu’à l’âge de 21 ans. Aussi, ces élèves viennent souvent de Montréal et de régions éloignées parce qu’il n’y a pas d’école spécialisée dans les autres villes autour de la métropole. Exemple : un étudiant peut venir des Laurentides ou de la Montérégie pour aller à l’école à Montréal en raison du manque d’écoles spécialisées dans leur région. Il faudrait qu’il y a ces genres d’écoles partout au Québec pour faciliter les déplacements de ces élèves handicapés. 

Maintenant, ce texte abordera le sujet de la communication non orale en profondeur. De façon générale, le public associe une personne qui ne parle pas à la surdité ou à une déficience intellectuelle profonde mais ce n’est pas toujours le cas. En effet, ces personnes appelées non oraux entendent très bien et comprennent tout. De plus, plusieurs sont super intelligents. Ces gens utilisent un appareil de communication avec une synthèse vocale ou un tableau pour pouvoir communiquer. Il existe plusieurs formes de tableaux dans le but de s’exprimer. Par exemple : un tableau rempli d’images, appelés des pictogrammes. Il contient plus d’une centaine de symboles variés comme le mot maison en illustré en image. De plus, il existe un autre tableau de communication avec des débuts de mots pour former des mots entiers. Prendrons l’exemple du mot bateau. Il y a les syllabes de ce mot : Va   sur ce tableau. Ces syllabes sont en couleur pour les identifier. Elles sont par ordre alphabétique sur la plaquette. 

Cependant, le public général ne prend pas le temps de d’écouter ni de comprendre les gens non oraux. Cette réalité est désolante parce que cette écoute et être compris sont si précieux pour cette communauté. Cela peut provoquer de l’anxiété et des grosses frustrations à cette partie de la populationIl est important de savoir que ce combat dure depuis super longtemps. Cette bataille est menée au sein des laboratoires de communication non orale dans les écoles spécialisées. De plus, personne n’en parle pas dans les médias ou à la société pour faire connaître la communication non orale au grand public, dans le but de briser les préjugés en lien avec la CNO (communication non orale). One voit jamais une personne utilisant un appareil de communication à la télévision ou entend à la radio, c’est désolant de constater ce recul dans les médias traditionnels. Ces personnes peuvent être vraiment pertinentes et intéressantes pour faire dans le domaine télévisuel ou radiophonique. Un autre point important, le gouvernement se ferme les yeux envers les personnes non orales puisqu’il accorde un appareil de communication à vie à un individu. Alors, il a besoin de plusieurs appareils au cours de sa vie en raison des bris ou de la longévité de ces systèmes d’aide à la communication. Ces aides à la communication sont essentielles pour développer l’autonomie car ces appareils parlent alors que le tableau, il faut que les gens lisent les mots pointés par la personne non orale, c’est parfois frustrant. De plus, aux yeux de la politique, cette population n’existe pas alors qu'elle est présente au sein de la société québécoise.   

Maintenant, le texte abordera l’inaccessibilité du métro de Montréal et les transports adaptés de la STM, c’est probablement le plus grand recul qui est présent de la société en matière de discrimination envers les personnes handicapées. C’est incroyable de penser qu’en 2025, il y a seulement trente stations qui sont accessibles aux personnes à mobilité réduite sur les 68 stations du réseau. Cela représente 44,1% des stations du métro qui sont accessibles aux personnes handicapées. De plus, le métro est adapté à cette clientèle depuis peu de temps. Les premières stations avec ascenseurs étaient à Laval parce que le métro était nouveau pour la ville de Laval, en 2008. La première station de métro montréalaise était Jean-Drapeau. Ces nouveautés ont pris presque de cinquante ans après la construction de ce moyen de transport. Ces problématiques étaient incroyables de constater ce recul de la part de la STM. Ces situations sont carrément de la discrimination de la part de ce service gouvernemental fédéral envers les personnes en situation d’handicap.  En ce qui concerne, le transport adapté de la STM n’est pas vraiment adapté parce qu’ils peuvent arriver une demi-heure plus tard de l’heure prévue. Prenons l’exemple d’une personne qui attend un transport pour aller à un rendez-vous médical. À propos de ce problème, elle est en retard à l’heure prévue de son rendez-vous.  Le stress peut s’accumuler avec ces retards. De plus, la majorité des chauffeurs de taxi relèvent du secteur privé qui embarquent les usagers. Aussi, plusieurs conducteurs de taxi infantilisent leur clientèle. Toutes ces situations désagréables créent de l’anxiété lorsque les usagers embarquent dans un taxi parce que ce ne sont pas tous les chauffeurs qui sont respectueux. En effet, la plupart sont irrespectueux envers nous. De plus, il y a aussi le problème du trajet. Un chemin peut prendre parfois quatre heures pour un chemin menant à une courte route. Prendrons l’exemple, un usagé habite à quelques minutes d’un endroit où il doit aller. Le trajet du taxi peut prendre parfois trois heures pour déposer l’usager. En revanche, si le métro de Montréal serait complètement adapté. Les personnes handicapées auraient énormément plus d’autonomie dans leurs déplacements quotidiens. Pour contrer à ce problème, il devrait avoir une table ronde pour en discuter dans le but de trouver des solutions parmi plusieurs personnes à mobilité réduite, ergothérapeute et d’autres intervenants afin d’améliorer le réseau de transport montréalais dans le but de mieux l’adapter envers cette clientèle. 

Pour continuer, les personnes handicapées sont souvent prises par pitié par la société en général. Cependant, elles ne font pas pitié. Au contraire, elles vivent majoritairement bien leur vie. Ces gens vivent des aventures magnifiques dans plusieurs contextes de la vie. Oui, cette population a besoin de plus d’aide mais elle peut réaliser de grandes choses grâce à la persévérance. Malheureusement, la société ne s’est pas adaptée pour permettre d’accomplir ses buts, rêves et projets. Elle se ferme les yeux plutôt que de permettre d’avoir une visibilité dans la communauté. En ce qui concerne le domaine artistique. Depuis quelques années, on commence à voir une augmentation de personnes handicapées présentes à la télévision. Par contre, il n'y a pas assez de vedettes en situation d’handicap dans le domaine artistique : à la télévision, au théâtre, au cinéma, en musique ou d’autres types d’arts. S’il y a plus de personnalités connues en situation d’handicap, le public aurait probablement moins de préjugés sur ces gens vulnérables. Par contre, les personnes handicapées commencent à se faire voir à la télévision mais ça l’a pris combien de temps avant d’en voir jouer ou animer à l’écran. Cependant, on ne voit jamais une vedette handicapée utilisée un appareil de communication à la télévision ou au cinéma ni d’entendre leur synthèse vocale à la radio, c’est désolant de constater ce grand recul dans les médias. Si cela change, le public va probablement améliorer sa façon de penser envers les personnes handicapées, surtout envers la communication non orale. Il y a bien sûr la chaîne communautaire ami-télé. Ce réseau de télévision présente des animateurs en situation d’handicap. Par contre, les grandes chaînes populaires comme la société d’état de Radio-Canada ne ils présentent jamais ou rarement des vedettes avec un handicap, c’est désolant de constater ce recul parce que les personnes handicapées peuvent être vraiment pertinentes dans les discussions de groupe alors pourquoi pas les inviter sur les plateaux de tournages ou en direct à la télévision en utilisant un appareil de communication. Il est malheureux de constater ce grand recul en télécommunications de nos jours. Maintenant, ce texte portera sur les services offerts à la clientèle dépassant l’âge de 21 ans. Après cet âge, la majorité des personnes handicapées n’a pas de services. Tous les services de réadaptation sont arrêtés rendu dès 21 ans. Cependant, cette tranche de la population a toujours besoin de la réadaptation. Avec leur vieillissement, ils peuvent avoir des douleurs physiques. Certains ont des maladies dégénératives dont ils doivent recevoir des soins médicaux en continu. C’est inacceptable de ne plus avoir recours

à ces services, à l’âge de 21 ans. Ces aides sont essentielles pour nous permettre de nous sentir mieux au niveau physique et psychologique parce que les deux vont ensemble.  

Les écoles spécialisées comme Victor Doré et Joseph Charbonneau n’existent pas à l’éducation des adultes. Oui, le centre Champagnat existe. Ils ont des cours académiques et un programme de participation sociale (PS). Cependant, il n’y a pas de services de réadaptation ni médicaux dans ce centre d’éducation pour adulte. Ceux qui ont des besoins particuliers sont autorisés à avoir un accompagnateur pour les aider en classe, au dîner, à l’habillage et d’autres tâches diversités. Par contre, ce n’est pas assez. De plus, l’accompagnateur est considéré comme travailleur autonome, c’est-à-dire, si l’élève s’absente en raison de maladie, son accompagnateur ne travaille pas. De plus, il n’est pas payé pour cette journée d’absence. Ces situations sont inacceptables parce que ces programmes de réadaptation sont essentiels pour les personnes handicapées conservent leurs acquis au niveau de la réadaptation. Avec le vieillissement de la population, ces personnes ont besoin d’aide pour maintenir leur acquis en matière de réadaptation. Si le gouvernement ouvre des centres d’éducation pour adultes handicapés offrant des services de réadaptation, ils seront mieux à tous les niveaux. Il faut absolument des écoles pour adulte comme ceux du secteur jeunes pour leur offrir tous les services dans le but de répondre au besoin de chacun. Cependant, ceux qui ont des handicaps lourds n’ont pas d’écoles pour les accueillir. Souvent, ils vont faire des activités, mais les animateurs des centres ne sont pas aussi qualifiés que dans les écoles spécialisées.

Les usagés attendent que le temps passe. Ils sont parfois mal traités par les animateurs. Certains moniteurs les infantilisent. Beaucoup d’intervenants de ces centres de loisirs s’en foutent d’eux. De plus, ces usagés ne sont pas lavés par leur propre famille. Ce sont des situations inacceptables pour l’image 

Corporelle et pour la santé de la personne.  

Le gouvernement devrait absolument invertir pour construire des écoles pour adultes semblant à celles aux jeunes de 4 ans jusqu’à 21 ans pour s’assurer la sécurité et le bien-être de tous. Plusieurs centres n’offrent pas de jeux, de sorties et d’autres occupations selon les intérêts des participants. Ces activités sont souvent imposées par l’équipe d’animation. Les centres devraient vraiment avoir une fiche avec les goûts de l’usager et adapter les jeux selon les intérêts de chacun. Il faudrait vraiment des écoles pour accueillir les personnes lourdement handicapées adultes dans le but de continuer leurs acquis pour leur permettre une meilleure qualité de vie. Un autre aspect de la réalité des personnes en situation d’handicap après 21 ans. À l’âge adulte, beaucoup de personnes handicapées habitent toujours chez leurs familles biologiques parce qu’elles ne peuvent pas rester seules en appartement, donc leurs parents s’occupent d’eux. Pour les personnes autonomes, elles sont dans des appartements supervisés. Il y a aussi des résidences pour les accueillir, mais certaines sont mal adaptées pour y vivre. Cependant, il y a aussi des milieux de vie où les personnes habitent très bien. Avec le vieillissement de la population, plusieurs personnes handicapées ont des parents âgés, donc elles ont plus besoin d’aide. Lorsque leurs parents décèdent, ils se retrouvent complètement seuls.  De plus, plusieurs sont enfants uniques donc ils se retrouvent en CHLSD avec des personnes âgées mais ces milieux de vie ne sont pas adaptés à l’âge de cette partie de la population. Il y a d’autres pour lesquels leurs parents les abandonnent littéralement. Ils vivent donc dans ces maisons. Par contre, ces résidents sont souvent mal traités par leurs intervenants. De plus, à l’âge adulte, l’individu doit partir de son logis pour être autonome. Cependant, les personnes lourdement handicapées ne peuvent pas devenir autonome parce que leur situation est trop lourde pour habiter seul en logement. Elles ont grandement besoin d’aide en continu, 24/24 7 jours/7. Ce manque de ressources est littéralement inacceptable de la part du gouvernement de ne pas réagir envers les personnes handicapées. Il devrait mettre en place des programmes d’aide à chaque personne pour dans toutes les sphères de la vie notamment en matière d’habitation pour offre à cette population des logis pour leur bien-être et sécuritaire. Le sport est un élément important dans la vie. Les personnes handicapées font énormément d’activités sportives pour améliorer leur motricité. Beaucoup de sports peuvent être adaptés. Prendrons l’exemple du hockey, ils jouent au hockey dans un gymnase. Ils mettent leur bâton sur le fauteuil avec des attaches pour mettre sur le côté du fauteuil pour ceux qui ont de la difficulté avec la manipulation des mains. Aux quilles, on utilise la rampe pour jouer. Certains sports sont littéralement adaptés pour la clientèle comme le boccia. Le boccia est un jeu ressemblant à la pétanque. Cependant, les boules sont de couleurs rouges et bleu. Pour ceux qui ne peuvent pas lancer la boule, il y a des rampes pour effectuer leur lancée. Le joueur pousse la balle sur cette rampe. Le but du jeu est de s’approcher du cochonné, une balle blanche. Les personnes handicapées ont besoin de dépenser leur énergie. Prendrons l’exemple de la natation, c’est un sport merveilleux pour les personnes en fauteuil qui sont toujours assises.  Lorsqu’elles pratiquent la natation, elles se sentent libres dans l’eau parce que leurs membres sont souvent immobiles, mais dans la piscine toutes les parties du corps bougent. Les personnes handicapées se sentent complètement libres dans l’eau. Elles peuvent nager avec des équipements adaptés. Cependant, il faut les aider pour les installer dans l’eau. 

Il y a une autre activité que les personnes handicapées peuvent aussi pratiquer, c’est faire du vélo. Cette bicyclette est faite sur mesure dépendant des besoins de la personne. Elle a des attaches sur les pieds. De plus, le vélo possède un dossier pour installer bien la personne d’une manière sécuritaire. Elles vont parfois en randonnée. Cependant, elles doivent être accompagnées pour prévenir les accidents ou les renversements du vélo pour éviter les blessures.  En résumé, la vie des personnes handicapées n’est pas si difficile qu’une autre personne sans handicaps. Il faut juste adapter leur vie et arrêter de porter des préjugés contre les personnes handicapées. Pour terminer, il faut vraiment avoir une société plus ouverte et respectueuse envers toutes les différences.  

Gabriel Lavigne 

 

 

 

La Courbe Bleue de Quatre-Vingt-Trois

L'été en 1983 était une tache de poussière et de chaleur à Harmony Creek. 

Un petit village où tout le monde croyait connaître l'histoire des autres. Celle d'Elisa, ils la connaissaient très bien : la fillette à qui un accident de vélo avait volé l'usage des jambes.

​Elisa, cependant, sentait que sa véritable histoire, celle de l'amour de soi, commençait à peine.

​Elle avait passé la dernière année à essayer de se faire toute petite, de faire en sorte que son nouveau fauteuil roulant passe inaperçu. Mais c'était impossible. Le médecin l'avait obtenu d'une grande clinique en ville et il était d'une teinte audacieuse, un bleu électrique si criard que, sous le soleil de l'après-midi, il semblait vibrer. Elle le détestait. C'était un projecteur dans un village qui la regardait déjà trop.

 

​Le jour du Défilé du Fondateur, l'air s'est tendu. C'était le seul jour de l'année où les 400 habitants s'alignaient sur l'Avenue Principale pour réaffirmer que, oui, ils étaient toujours là. Elisa le regardait toujours depuis le porche, une spectatrice en sécurité.

 

​Mais pas aujourd'hui.

​Elle s'est élancée vers le centre du village, le bleu de sa chaise reflétant un ciel qui n'osait pas être aussi audacieux qu'elle. L'Avenue Principale était une rivière de gens statiques. Le bruit du métal de sa chaise lorsqu'il touchait les fissures du trottoir sonnait, pour elle, comme un coup de tonnerre. Elle sentit le poids de chaque tête qui se tournait, non pas avec cruauté, mais avec cette pitié non sollicitée qui était pire que le jugement.

​Son objectif était d'atteindre le stand de limonade au coin; une petite victoire. Elle n'était qu'à trois mètres lorsqu'elle arriva à l'obstacle qui résumait tout : la rampe d'accès au trottoir était cassée, le ciment s'effondrant en une pente impossible.

​Puis elle l'a vu. M. Johnson, avec sa chemise blanche amidonnée, se détachait de la foule. Ses yeux étaient sincères, mais son expression était celle d'un homme qui se préparait à soulever un objet fragile.

 

​"Permets-moi, Elisa. Je t'aide à monter," dit-il, tendant les mains vers les poignées du fauteuil.

​À cet instant, la vraie rampe n'était pas en ciment, mais en peur. Peur d'être vue comme un fardeau, peur de l'étiquette d'« handicapée » que le village lui avait collée.

​Elisa n'avait pas besoin qu'on la monte. Elle avait besoin qu'on la voie.

​Sans un mot, et sentant une vague de calme qu'elle n'avait jamais connue, elle a fait une chose à laquelle personne à Harmony Creek ne s'attendait : elle n'est pas montée, ni n'a accepté l'aide. Elle a poussé les arceaux, faisant tourner le fauteuil de 180 degrés avec un swoosh rapide du métal bleu. Elle s'est arrêtée, regardant vers la rue, juste au bord de la rampe cassée.

​Elle a enlevé ses lunettes de soleil. La lumière du soleil de quatre-vingt-trois a frappé directement son visage.

 

​M. Johnson est resté figé, les mains en l'air. La foule est restée silencieuse une seconde de plus que la normale, puis a recommencé à chercher le défilé.

​Elisa a ressenti une légèreté étrange, comme si elle s'était débarrassée d'un sac à dos rempli de pierres qu'elle portait depuis des années. Les pierres ne venaient pas du fauteuil, mais du besoin constant d'être invisible. Son cœur ne battait plus par peur du jugement; il battait pour l'amour de soi qui venait de naître.

​Un vieux tracteur, décoré de fleurs en papier crépon, annonça le début du défilé. L'orchestre scolaire a détonné dans une tentative de marche. Le bruit ramena Harmony Creek à la normalité, mais la normalité d'Elisa était brisée pour toujours.

​Elle est restée là, son fauteuil bleu électrique brillant, un contraste délibéré et bruyant avec le ciment monotone. La courbe de la rampe était un rappel de la façon dont le monde n'était pas fait pour elle, mais en tournant, elle avait refusé de laisser cette imperfection la définir.

​Une petite fille, vêtue d'une robe à carreaux, s'est approchée sans la pitié prudente des adultes.

​"Ta chaise brille beaucoup," a chuchoté la fillette, levant une main pour toucher le métal froid et poli.

​"Oui, elle brille, n'est-ce pas ?" a dit Elisa.

​"Et ça te fatigue beaucoup de pousser ?" a demandé la fillette avec une honnêteté désarmante.

​"Non," a répondu Elisa, "ça me donne de la force."

​Dans ce bref et innocent échange, Elisa a ressenti plus d'acceptation que dans tous les murmures et gestes prudents qu'elle avait reçus au cours des cinq dernières années.

​Elle a remis ses lunettes de soleil. Son reflet dans la lentille était clair et grand. Elle était la femme au bleu électrique, et en cet été de quatre-vingt-trois, la Courbe Bleue avait pris le contrôle de sa propre histoire.

 

 

 

 

 

 

Petites questions pour les lecteurs

Avez-vous déjà ressenti le besoin de "vous faire petit" ou de devenir invisible pour vous adapter à un espace qui n'était pas fait pour vous ? Quel a été votre "moment bleu" où vous avez décidé de revendiquer votre place ?

L'Acceptation vs. La Lutte : L'acceptation d'Elisa n'a pas été de surmonter un obstacle physique (la rampe), mais de surmonter la peur du jugement. Selon vous, quel est l'obstacle le plus difficile à vaincre dans votre propre cheminement vers l'amour de soi : ce que les autres pensent ou ce que vous pensez de vous-même ?

 

Le Rôle de l'Aide Non Sollicitée : M. Johnson a agi avec de bonnes intentions, mais son geste a failli nuire au moment d'Elisa. Comment distinguer l'aide véritable dont nous avons besoin de la pitié non sollicitée qui nous enlève du pouvoir ? 

Un voyage d'amour 

Une relation amoureuse est un voyage, non une destination. C'est une danse constante entre deux âmes qui choisissent, chaque jour, de se rencontrer, de s'écouter et de grandir ensemble. Elle n'est pas faite de perfection, mais de l'acceptation des imperfections de l'autre et de soi-même.

 

Pour la porter, il faut avant tout cultiver la bienveillance. Non seulement envers l'autre, mais aussi envers soi. C'est comprendre que l'amour ne résout pas tous les problèmes, mais qu'il offre un espace sécurisant pour les affronter. C'est savoir que les désaccords sont inévitables, mais que la manière de les traverser définit la force du lien.

Le véritable pilier d'une relation durable est la communication, honnête et vulnérable. Oser partager ses peurs, ses joies, ses doutes, et écouter activement ceux de l'autre, sans jugement. C'est aussi la capacité à pardonner, à laisser aller les rancœurs, et à se rappeler pourquoi on a choisi cette personne au départ.

Porter une relation, c'est aussi nourrir l'autonomie de chacun. C'est se soutenir mutuellement dans les aspirations individuelles, tout en construisant un chemin commun. C'est être le refuge et l'élan, la douceur et la force.

 

Finalement, une relation amoureuse est un art. L'art d'aimer, de désapprendre, de réapprendre, et de se réinventer sans cesse, main dans la main, à travers les saisons de la vie. C'est dans cette volonté constante de bâtir, d'entretenir et de célébrer le lien que réside sa véritable puissance.

Un coup de cœur 

L’amour avec des personnes handicapées est une expression profondément humaine qui, dans n’importe quelle relation, traverse les barres physiques, sensorielles ou cognitives pour se connecter à d’autres à un niveau intime et authentique. Dans ce cas, la société sous-estime les capacités affectives des personnes handicapées, associées à juste titre aux limites de leur capacité d'amour. Sans embargo, ces perceptions erronées ne sont pas fondées sur les émotions, les sentiments et les désirs qui font partie de votre expérience humaine. L'amour dans ce contexte nous fait comprendre l'importance de l'acceptation, de l'empathie et de la communication authentique. Nous invitons à regarder plus loin ce qui est visible, à valoriser l'essence de l'être humain par l'ensima de toute étiquette ou condition physique. Quand l'amour est vrai, il rencontre des formes d'adaptation, de réinvention, de construction de ponts autour d'autres et d'obstacles.  De plus, les relations amoureuses entre personnes handicapées peuvent se transformer en un acte de résistance aux préjugés et aux stigmates sociaux. Ces relations montrent que la vulnérabilité n’est pas une déficience, mais une porte qui a l’authenticité et la force partagée. L’amour n’est pas seulement un droit universel, mais aussi une source d’autonomie qui peut transformer les vies et désaffectionner les narrations limitées. Un cœur amoureux n'a pas d'yeux pour voir un fauteuil roulant.  

 

Le jour des morts

Mais c’est quoi exactement le fameux jour des morts ? Eh bien c’est une journée traditionnelle qui se célèbre au Mexique   pour une belle raison, et celle-ci est pour faire un hommage aux membres de nos familles et qu’ils puissent nous faire une magnifique visite aussi.  Elle est connue pour ses couleurs extravagantes et ses déguisements de squelettes 

Sa signification  

La signification de cette fête est bien plus symbolique et ancienne que l'on pourrait y croire. La date de cette magnifique journée est les deux premiers jours c’est-à-dire le 1 et 2 du mois de novembres de chaque année.  Contrairement à ce que c’est le jour des morts, ce n’est pas une version mexicaine d’Halloween.  Bien que liés, ces deux événements annuels diffèrent grandement en termes de traditions et de tonalité. Alors que pour le dernier jour du mois d’octobre, Halloween fait place à la terreur et aux farces. 

Les festivités du Jour des Morts ont lieu les deux premiers jours dans une explosion de couleurs et de joie de vivre. Le thème reste la mort, mais il s’agit de manifester de l’amour et du respect envers les membres de la famille qui ne sont plus parmi nous. Dans les villes et villages du Mexique, les personnes qui participent à cette fête se maquillent et se déguisent, organisent des défilés et des fêtes, chantent et dansent, et font des offrandes aux êtres chers disparus.  Les rituels sont riches en significations symboliques, et plus on en sait sur les sens de cette fête, plus on peut l’apprécier pour tout ce qu’elle représente. Voici dix choses à savoir sur l’événement annuel le plus coloré du Mexique.

Un peu de son histoire 

 Chez les Aztèques, les Toltèques et d’autres peuples Nahua, pour qui le deuil des morts était un manque de respect, le « Jour des morts » vit le jour il y a plusieurs milliers d’années. Dans ces cultures préhispaniques, la mort était vue comme une phase naturelle du long continuum de la vie. Ainsi, les morts étaient toujours des membres de la communauté, maintenus en vie par la mémoire et l’esprit, et, à l’occasion du jour des morts, ils revenaient temporairement sur terre. La célébration moderne du jour des morts est un mélange de rites religieux préhispaniques et de fêtes chrétiennes.  Le jour de la fête de la Toussaint et le jour de la commémoration des fidèles défunts de l’Église catholique, au moment de la récolte de maïs, à l’automne. 

LES AUTELS SONT UNE TRADITION IMPORTANTE… 

La pièce maîtresse de la célébration est un autel, ou ofrenda, construit dans les maisons privées et les cimetières. Ces autels ne sont pas destinés au culte, mais à accueillir les esprits qui font leur retour dans le royaume des vivants. Ils sont donc chargés d’offrandes : de l’eau pour étancher la soif après le long voyage, de la nourriture, des photos de famille et une bougie pour chaque parent décédé. Si l’un des esprits est un enfant, on peut y trouver de petits jouets. Les fleurs qui sont les plus utilisées pour décorer ces autels sont les soucis dispersés de l’autel aux tombes, les pétales de soucis guident les âmes errantes vers leur lieu de repos. La fumée de l’encens de copal, fabriqué à partir de résine d’arbre, transmet les louanges et les prières, et purifie la zone autour de l’autel. 

 

TOUT COMME LES CALAVERAS  

Le terme calavera signifie « crâne », mais à la fin du 18e et au début du 19e siècle, il était utilisé pour décrire de courts poèmes humoristiques, qui étaient souvent des épitaphes sarcastiques publiées dans les journaux afin de se moquer des vivants. Ces calaveras littéraires finirent par devenir un élément populaire des célébrations du día de los muertos. Aujourd’hui, cette pratique est encore bien vivante ; ces poèmes satiriques sont encore publiés dans la presse, mais sont aussi lus à haute voix et diffusés dans des émissions de télévision et de radio. 

LA CALAVERA CATRINA 

Au début du 20e siècle, le caricaturiste politique et lithographe mexicain José Guadalupe Posada créa une gravure pour accompagner une calavera, celle-ci habilla sa personnification de la mort avec des vêtements français et la baptisa Calavera Garbancera, dans le but de commenter l’imitation de la sophistication européenne par la société mexicaine de son époque. « Todos somos calaveras », une citation que l’on attribue souvent à Posada, signifie : « nous sommes tous des squelettes » : sous tous nos oripeaux artificiels, nous sommes tous les mêmes. En 1947, l’artiste Diego Rivera reprit le squelette stylisé de Posada dans son chef-d’œuvre mural intitulé Sueño de una tarde dominical en la Alameda Central. Le buste squelettique de Posada était habillé d’un grand chapeau féminin ; Rivera en fit un personnage féminin qu’il nomma Catrina, un terme signifiant « les riches » en argot. Aujourd’hui, la calavera Catrina, ou crâne élégant, est le symbole le plus omniprésent du jour des morts.  En plus , il existe également le Catrín,  qui est l'éternel admirateur de la Catrina et son compagnon dans la vie comme dans la mort.

 

Le  Catrín

Le Catrín est la version masculine de la Catrina ; ce sont des squelettes joyeux et insouciants qui, chaque Jour des Morts, sortent de leurs tombes vêtus de leurs plus beaux vêtements pour célébrer la vie et accueillir ceux qui viennent de naître dans l'autre monde. Aussi le mot « catrín » est originaire du Mexique, datant de l’époque du Purifiât. Il désigne des hommes d’une certaine lignée et d’un certain statut socio-économique, ce qui se manifestait par les vêtements coûteux qu’ils portaient, imitant la haute société européenne.  En peu de temps, l'humour typiquement mexicain (lui aussi naissant) se fit connaître, lorsque la mode européenne et ceux qui pouvaient se permettre de la porter devinrent la cible de la critique sociale acerbe des grands penseurs et artistes de l'époque ; qui leur consacrèrent des vers drôles et ingénieux que nous connaissons aujourd'hui sous le nom de calaveritas literarias (crènes littéraires.)  Mais avant le fameux Catrín   , les petits crânes font en premier voici le pourquoi... Les calaveritas (poèmes du crâne) littéraires originaux ont émergé et connu leur apogée sous les présidences de Sebastián Lerdo de Tejada, Benito Juárez et Porfirio Diaz . Ces poèmes s'inspiraient des nécrologies et des épitaphes de personnes fortunées qui rejetaient leurs racines. Ils visaient spécifiquement à perpétuer des attitudes dénigrantes envers la véritable identité nationale et son peuple, ainsi qu'à imposer des coutumes, des traditions et des modes aux Mexicains autochtones. Ces petits crânes apparaissaient dans les journaux de la résistance, ornés de portraits de ce que l'on pourrait considérer comme les premiers dandys et dames élégantes. Ces illustrations, représentant des silhouettes squelettiques, illustraient des scènes de la vie quotidienne et reflétaient le mécontentement et les conditions de vie de la majeure partie de la société. 

Pourquoi les familles offrent de la nourriture aux morts?

  Voyager du monde des esprits vers le monde des vivants, ça donne faim ; c’est du moins la croyance traditionnelle au Mexique. Certaines familles placent donc sur l’autel le repas préféré de l’être cher décédé. Parmi d’autres offrandes courantes, on trouve également : 

Le pain des morts  

Est un pain sucré typique souvent agrémenté de graines d’anis et décoré d’os et de crânes faits de pâte. Les os peuvent être disposés en cercle, pour représenter le cycle de la vie. De petites larmes de pâte symbolisent quant à elles le chagrin. Les crânes en sucre font partie de la tradition de l’art du sucre apportée par les missionnaires italiens du 17e siècle. Pressés dans des moules et décorés de couleurs cristallines, ils sont de toutes tailles et de tous niveaux de complexité. Le pulque est également utilisé pour célébrer cette fête. Il s’agit d’une boisson fermentée sucrée fabriquée à partir de sève d’agave, de atolé (une fine bouillie chaude à base de farine de maïs à laquelle on ajoute du sucre de canne non raffiné, de la cannelle et de la vanille et de chocolat chaud. 

LES COSTUMES FONT PARTIE DE LA FÊTE 

Le jour des morts est une célébration qui occupe les rues et les places publiques à toute heure du jour et de la nuit. Se déguiser en squelette fait partie intégrante du plaisir. Des personnes de tous âges se peignent le visage pour ressembler à des crânes et, tout comme la calavera Catrina, portent des costumes et des robes fantaisistes. De nombreux participants portent également des coquillages ou d’autres objets bruyants pour accentuer l’ambiance de la célébration… mais aussi pour réveiller les morts et les garder près d’eux le temps de la fête. Vous avez sans doute déjà vu cette magnifique œuvre en papier dans des restaurants mexicains. La traduction littérale de papier percé, décrit parfaitement sa fabrication : les artisans empilent du papier de soie coloré en dizaines de couches, puis perforent ces couches avec des marteaux et des pointes de ciseaux. Le (papier de soie) n’est pas utilisé uniquement pendant le Jour des Morts , mais il joue un rôle important dans cette célébration. Drapé autour des autels et dans les rues, cet art représente le vent et la fragilité de la vie. 

LA PARADE DE MEXICO VAUT LE DÉTOUR

Le día de los muertos (jour des morts) n’a jamais été aussi populaire, au Mexique mais aussi dans le reste du monde. Depuis plus de dix ans, l’organisation culturelle à but non lucratif Mano à Mano: Mexicain Culture Without Borders, établie à New York, organise la plus grande célébration de la ville. Cependant, c’est au Mexique qu’ont lieu les célébrations les plus authentiques. Si vous êtes à Mexico le week-end précédant le día de los muertos cette année, ne manquez pas de vous arrêter au grand défilé, où vous pourrez participer à des concerts, des promenades à vélo et d’autres activités organisées dans toute la ville.  

 

 LES COMMUNAUTÉS NE CÉLÈBRENT PAS DE LA MÊME FAÇON 

D’innombrables communautés célèbrent le Jour des Morts au Mexique, mais les styles et les coutumes diffèrent selon les régions, en fonction de la culture préhispanique prédominante. Les quelques endroits suivants se distinguent par leurs célébrations colorées et émouvantes : 

Pátzcuaro : L’une des célébrations les plus émouvantes du día de los muertos a lieu chaque année à Pátzcuaro, une ville de l’État du Michoacán située à environ 360 kilomètres à l’ouest de Mexico. Les communautés natives de la campagne convergent vers les rives du lac de Pátzcuaro, où ils s’entassent dans des canoës, une seule bougie allumée dans chaque étrave, et pagaient jusqu’à une petite île appelée Janitzio pour une veillée nocturne dans un cimetière indigène. 

Mixquic : Dans cette banlieue de Mexico, lorsque les cloches du couvent historique des Augustins sonnent, les membres de la communauté se rendent au cimetière local, bougies et fleurs à la main, et nettoient et décorent les tombes de leurs proches.  

Tuxtepec : Cette petite ville du nord-est de l’État de Oaxaca est surtout connue pour ses tapis de sciure de bois. Pendant des jours, les habitants disposent minutieusement de la sciure de bois colorée, des pétales de fleurs, du riz, des aiguilles de pin et d’autres matériaux organiques pour former des motifs élaborés ressemblant à des tapis dans les rues de la ville. Traditionnellement fabriqués pour des processions importantes, les tapis de sciure de Tuxtepec sont jugés lors d’un concours organisé pendant le día de los muertos. Entre plusieurs autres. 

Saviez-vous que ?

Les colibris sont importants sur les autels du Jour des Morts…  

Le pourquoi : 

Le colibri et sa signification le jour des morts  . Les animaux occupent une place très importante dans la célébration du Jour des Morts. Par exemple, le chien Xoloitzcuintle aidait les défunts à passer dans l'autre monde, le hibou symbolisait la mort et les Nahuatlais se nourrissaient des âmes des morts.  Cependant, un oiseau est véritablement emblématique de ces festivités : le colibri.  Ainsi, le colibri, associé à d'autres éléments comme la fleur de souci, sur les autels et les offrandes du Jour des Morts, revêt différentes significations, notamment la lutte contre la mort, les bonnes nouvelles et l'amour infini pour ceux qui ne sont plus là. 

Mais ce chien vient d'où exactement ? 

Eh bien, le Mexique, terre de traditions millénaires, abrite un joyau canin avec plus de 7 000 ans d'histoire : le Xoloitzcuintli. Enraciné dans la riche culture aztèque, ce chien n'est pas seulement un compagnon fidèle, mais aussi un acteur central dans les croyances sur la vie et la mort. Un Voyage à travers le Mictlan : Le Royaume des Morts 

Son histoire 

 Dans la cosmogonie aztèque, le destin des âmes après la mort était entrelacé avec le Mictlan, le royaume des morts. Ce royaume souterrain, divisé en neuf niveaux, était gouverné par Mictlantecuhtli et Mictecacihuatl. Au premier niveau résidaient les Xoloitzcuintlis, jouant un rôle crucial dans la transition vers l'au-delà.  Traversée de la Rivière Apanohuayan et Lien avec le Xoloitzcuintli Pour les défunts, traverser la rivière Apanohuayan dans le Mictlan était essentiel. Ici, le Xoloitzcuintli devenait un guide. Si le défunt avait été bon envers son chien de son vivant, celui-ci l'aidait à traverser. Cependant, si la relation était difficile, l'âme restait piégée. Dans certains rituels funéraires, un Xolo était même sacrifié pour accompagner le disparu dans son voyage spirituel. La Connexion avec la Mort : Xolotl, le Dieu du Crépuscule 

Le mot "Xoloitzcuintli" a ses racines dans le nahuatl, dérivé de Xolotl, le dieu du crépuscule et frère jumeau de Quetzalcóatl. Bien qu'associé à l'obscurité et au monde souterrain, le Xoloitzcuintli était également vu comme un protecteur capable de voir les âmes quittant les corps pendant la nuit. Xoloitzcuintli dans la Gastronomie et la Chasse Indiscriminée.  

Ils n'étaient pas seulement des compagnons spirituels, mais faisaient également partie de banquets spéciaux. Lors d'événements tels que les mariages et les funérailles, les Xolos étaient consommés. Cependant, la colonisation a entraîné une chasse indiscriminée, menant presque à l'extinction de cette race. Se réfugiant dans les jungles d'Oaxaca et de Guerrero, les Xolos sont restés cachés pendant des siècles. Renaissance et Conservation au XXe Siècle Ce n'est qu'au cours des années 1950 que la Fédération Canine Mexicaine et la Fédération Cynologique Internationale ont officiellement reconnu le Xoloitzcuintli comme une race. Cette reconnaissance a marqué le début de mesures visant à conserver l'espèce, qui avait été confrontée à des menaces significatives pendant la colonisation.  

Cependant, Huitzilin partit à la guerre et mourut, laissant Xóchitl triste et désespérée. Elle implora la divinité de les réunir pour l’éternité. Alors, Tonatihú la transforma en une fleur d’or, le cempasúchil , qui resta fermée jusqu’à ce qu’un colibri s’en approche ; cet oiseau se révéla être son bien-aimé. Selon une légende nahuatl, le colibri représente le dieu aztèque Huitzilopochtli,  né de la déesse Coatlicue , créatrice de la vie et de la mort, qui tomba enceinte en ramassant quelques plumes blanches et en les plaçant dans son huipil. La naissance de l’enfant provoqua la colère des autres dieux, qui complotèrent pour les tuer, mais échouèrent. Ainsi, cet oiseau symbolise parfois la lutte contre la mort.

En conclusion, le Xoloitzcuintli n'est pas seulement un chien, mais un témoin de la riche mythologie et des traditions qui constituent le tissu culturel du Mexique. Son histoire, liée à la vie et à la mort, nous rappelle la profondeur des croyances qui ont perduré à travers les siècles au Mexique. 

Le film: CoCo

En plus tellement que cette tradition est si unique et magnifique la compagnie Disney a collaboré pour sortir le film COCO en 2017  

Sa création et sa signification : 

L'idée du film de Coco provient du réalisateur Lee Unkrich, qui, à la sortie de Toy Story 3 en propose les contours à John Lasseter. 
Diplômé de l'école de cinéma de l'USC (University of Southern California) en 1991, il entame sa carrière dans le cinéma et la télévision en prises de vue réelles, travaillant notamment sur la série Les Dessous de Palm Beach. Arrivé en 1994 chez Pixar, il devient monteur sur Toy Story en 1995, puis sur 1001 Pattes en 1998, sur lequel il assure également certaines voix additionnelles. Coréalisateur, monteur et à nouveau voix additionnel sur Toy Story 2 en 1999, il co-signe Monstres & Cie en 2001 puis, deux ans plus tard, co-réalise avec Andrew Stanton, Le Monde de Nemo, certifié à l'époque, plus grand succès de l'histoire de l'animation quelques semaines seulement après sa sortie. L'année 2010 représente, pour Lee Unkrich, un tournant important dans sa carrière, puisqu'il est nommé, seul, à la tête de la réalisation de Toy Story 3, le troisième volet des aventures des célèbres jouets animés. Encensé par la critique et le public, l'opus est, encore à ce jour, le plus grand succès des studios Pixar avec 1 067 milliards de dollars engrangés au box-office mondial. De plus, en 2016, il est annoncé que Lee Unkrich sera secondé sur Coco par un coréalisateur, Adrian Molina, également scénariste du film. 

UN PEU DES CRÉATEURS DU FILM

Adrian Molina, de descendance mexicaine, est, pour sa part, né le 23 août 1985 en Californie. Il passe ainsi toute son enfance à Yuba City située au nord-est de San Francisco puis rentre chez Pixar en 2007 où il débute sa carrière en tant qu'animateur 2D sur Ratatouille. Il travaille ensuite en qualité de storyboarder sur Toy Story 3 puis se voit chargé de quelques éléments de scénario sur Monstres Academy et Le Voyage d'Arlo. Sur Coco, il est promu scénariste avant de se voir confier, en plus, la fonction de coréalisateur. Coco est donc une lettre d'amour au Mexique et à sa culture. Le thème principal du film est, en effet, le Día de Muertos (ou Día de los Muertos selon les usages ou contrées), le jour des morts. Il s'agit, en fait, du mélange d'une tradition aztèque, la célébration de la déesse souterraine, Mictecacihuatl, avec celle de la Toussaint, une fête chrétienne apportée par les conquistadors espagnols. Cette célébration se distingue des autres fêtes tournant autour de la Mort - et notamment chez les Chrétiens - par son caractère. 

festif avec, par exemple, la réalisation d'autels privés dédiés aux défunts et couverts d'offrandes d'objets, de fleurs et de nourriture. Une autre figure de cette fête est la Catrina, un personnage très populaire représentant un squelette féminin vêtu de riches habits et portant un chapeau. Ainsi, ses défilés voient beaucoup de gens se déguiser ou porter des masques de squelettes aussi colorés que joyeux. 
Mais les clins d'œil à la culture mexicaine dans Coco ne se limitent pas à cette seule fête. De nombreux autres détails viennent, il est vrai, agréer le film à commencer par le Xoloitzcuintli, le chien sans poil du Mexique, mais aussi l'influence de la musique ou même le comportement typique des mamans hispaniques qui couvrent de baisers le moindre petit enfant. Se remarquent également les Alebrijes qui ont pu être vus récemment dans la série Disney Télévision Animation, Elena d'Avalor. Il s'agit, en effet, d'art et de sculptures en bois représentant des animaux ou des créatures imaginaires,

 réalisées au premier lieu par l'artiste Pedro Linares. La production du film ne se passe pourtant pas totalement dans la sérénité. En 2013, l'opus dont le titre est à l'époque, Día de los Muertos, commence, il est vrai, à faire l'objet de demandes de dépôt de marques par The Walt Disney Company… Mais cela provoque une levée de bouclier au Mexique et au sein de la communauté hispanique aux États-Unis qui n'apprécient pas que le nom de leur fête populaire soit déposé par une entreprise à des fins commerciales. Un artiste local, Lalo Alcaraz, réalise même une affiche dénommée Muerto Mouse où il s'amuse à dessiner un Mickey façon Godzilla qui attaque la population signant là une fausse publicité pour un film censé sortir pour le Jour des Morts. Devant la vague de protestations, Disney fait vite marche arrière et annonce qu'un nouveau titre sera trouvé pour l'opus. Finalement, Coco est choisi et s'avère tout simplement parfait même s'il ne prend tout son sens qu'à la fin du film. Cependant, ironie de l'histoire, et preuve que Pixar est peu rancunier ou fin stratège, l'artiste Lalo Alcaraz est embauché en 2015 pour servir de consultant sur la culture mexicaine et s'assurer que les propos tenus sont conformes aux traditions sans être caricaturaux. 

 

Un peu de l'histoire du film

Coco s'appuie en réalité sur un scénario assez classique, dans le sens où le spectateur sait où il va aller et n'est pas forcément surpris par les rebondissements présents tout du long. Pour autant, il ne s'agit pas là d'une critique dans la mesure où le récit sait parfaitement amener puis gérer les différents évènements en dosant à merveille les actes constitutifs du film. Il débute ainsi crescendo en prenant le temps d'installer son histoire et ses personnages, dévoilant ses cartes au fur et à mesure, et permettant à toutes ses thématiques de se mettre en place. La trame est dès lors classique mais particulièrement efficace. Le but de Coco n'est à l'évidence absolument pas de surprendre son auditoire mais bien de l'emmener en voyage, d'abord vers un lieu dépaysant et incroyable, puis au plus profond de son être dans une odyssée vers ses propres souvenirs. 

L'opus commence alors doucement comme un voyage initiatique pour le petit Miguel qui doit trouver le courage d'accomplir ses rêves. Il se rebelle contre sa famille, cordonnier de mère en fille et en gendre, auprès de laquelle la musique a été bannie depuis plusieurs générations. Même si cette thématique est classique et peut sembler déjà vue, elle est écrite ici avec justesse. Quand Miguel rejette cette famille qui veut l'empêcher de vivre sa

passion, le spectateur comprend parfaitement ce qu'il ressent. Il est révolté devant un ostracisme qu'il ne comprend pas. La musique est en lui, et il est impossible de tirer un trait dessus. Cette farouche envie de suivre sa voie et son destin le rend particulièrement attachant. En cela, Miguel devient le messager des propres émotions du public qui n'a, dès lors, aucun mal à s'identifier à ce garçon plein de rêves. Les spectateurs vont grandir en même temps que lui tout au long du récit pour ouvrir leur cœur à la fin et être prêts à recevoir le plus beau des messages qui soit.  

 

Bref, pour en savoir encore plus sur ce film, je vous encourage fortement à voir ce beau et significatif film!

Je vous assure que vous n'allez pas regretter !  

La légende du souci et du colibri, la signification de l'amour 

l existe une autre légende nahuatl concernant la fleur de souci, partagée par le Service d'information agroalimentaire et halieutique, qui évoque la signification du colibri. Tout commença lorsque deux enfants, une fille nommée Xóchitl et un garçon nommé Huitzilin , s'aimèrent dès leur première rencontre et, devenus adultes, gravirent une colline pour demander au dieu soleil, Tonatiuh, de bénir leur union.  

Cependant, Huitzilin partit à la guerre et mourut, laissant Xóchitl triste et désespérée. Elle implora la divinité de les réunir pour l'éternité. Alors, Tonatihú la transforma en une fleur d'or, le cempasúchil , qui resta fermée jusqu'à ce qu'un colibri s'en approche ; cet oiseau se révéla être son bien-aimé. Selon une légende nahuatl, le colibri représente le dieu aztèque Huitzilopochtli,  né de la déesse Coatlicue , créatrice de la vie et de la mort, qui tomba enceinte en ramassant quelques plumes blanches et en les plaçant dans son huipil. La naissance de l'enfant provoqua la colère des autres dieux, qui complotèrent pour les tuer, mais échouèrent. Ainsi, cet oiseau symbolise parfois la lutte contre la mort. 

Ainsi, le colibri, associé à d'autres éléments comme la fleur de souci, sur les autels et les offrandes du Jour des Morts, revêt différentes significations, notamment la lutte contre la mort, les bonnes nouvelles et l'amour infini pour ceux qui ne sont plus là. 

Message de la blogueuse 

Merci d'avoir lu jusqu’à la fin ce magnifique article !  

Eh bon jour des morts à ceux qui célèbrent cette belle fête et pour ceux que simplement ils ont pris le temps de plonger dans ce beau voyage sur le jour des morts !  

La nostalgie du au revoir

 

 

 

Je te laisse avec cet au revoir que je n’ai jamais voulu accepter Si j’avais su  que notre amour allait se perdre à la moitié du chemin  Je ne me serais pas  autant épuisé en essayant de te comprendre et te donner une certaine priorité. J’espère que tu aies une certaine certitude que tes empreintes resteront dans ma peau.  Même si tu ne sors encore de ma tête et que parfois les souvenirs me soumettent dans la nostalgie et la tristesse pendant la nuit totombée.Cette fois-ci j’ai dû perdre  pendant le jeu, puisse que  j’ai n’ai pas su les vraies règles du jeu. Tu dois comprendre que ça n’a pas été mon intention de dire ce fameux : OK  je comprends, je te souhaite le meilleur..

Efface-moi la mémoire, efface- moi de notre histoire. Oublie- moi si tu veux  guéri tes propres blessures loin de moi. Amène avec toi les moments qui nous ont arracher des soupirs,  amène les restants des miettes de nos cœurs brisées. Amène avec toi nos  deniers baisers nos deniers je t’aime, pour enfin réalisé que ce chapitre  est enfin arrivé à sa fin. Amène  et efface la marque que ton touchée à laissés en  moi.  Je vais devoir apprendre à ne plus t’attendre, à ne plus te dire tu me manques ou à vouloir t’appeler et entendre pour une dernière fois ta voix.

Ne crois pas que c’est question d’être assez courageuse et vouloir tourner enfin la page et laisser tout derrière moi.

Simplement efface la mémoire de la nostalgie du au revoir..